Microbiote : la révolution homéopathique pour régénérer votre intestin

Deux Français sur trois sont convaincus des bienfaits de l'homéopathie. Pourtant, elle sera bel et bien déremboursée à compter du 1er janvier 2021. Une aberration quand on sait qu'elle agit aussi bien sur les êtres humains que sur les animaux, les végétaux, les champignons… et même sur les bactéries, les virus et les levures qui composent notre microbiote. Quels sont ces granules qui peuvent voler au secours de notre santé ?

Les nombreuses personnes ayant déjà fait l'expérience de l'homéopathie savent qu'elle est capable d'aider les êtres humains malades et en souffrance.

Ceux qui ont des animaux domestiques ou d'élevage ont pu apprécier les effets des remèdes homéopathiques sur leurs bêtes. Les agriculteurs et les viticulteurs ont également pu constater des effets bénéfiques sur les végétaux et les champignons.

Mais ce que les plus fervents utilisateurs de l'homéopathie ne savent probablement pas, c'est qu’il est possible d'administrer des remèdes à toutes les créatures, et même aux objets créés par l’homme, que la biologie ne reconnaît pas comme vivants. Tout ce qui existe sur Terre est composé d'atomes issus de l'univers. Si les atomes ne sont pas considérés comme des êtres vivants, ils sont pourtant sensibles aux remèdes homéopathiques au même titre que les bactéries, les champignons microscopiques, les levures et les virus qui constituent notre microbiote.

20 millions de microbes qui déterminent qui vous etes !

Notre microbiote est l'ensemble des microorganismes présents dans notre corps. Il pèse environ 1,3kg chez un adulte de taille et de poids moyens. Sachant qu’il rassemble 10 fois plus de microorganismes que de cellules, cela en fait l’un des plus gros organes de notre corps !

Nos cellules sont elles-mêmes formées à partir de la coopération de microorganismes. Nos 20.000 gènes humains sont issus principalement des bactéries et des mycobactéries, et pour 8% de virus. Notre microbiote, lui, compte entre 2 et 20 millions de gènes microbiens, et l’ensemble des données génétiques de ce microbiote s'appelle le microbiome humain. Ces microbes logent dans tous les coins de notre corps. Ils sont beaucoup plus importants que nous ne l’imaginons, dans la mesure où ils jouent un rôle dans presque tous les aspects de notre santé, voire de notre personnalité.

Contrairement à ce que le dogme pasteurien a voulu nous faire croire, nous ne sommes pas simplement les hôtes malchanceux de mauvais microorganismes à éradiquer, car tenus responsables d'infections mortifères. Notre microbiote unique est un ensemble de plusieurs communautés microbiennes variables selon les parties de notre corps. Bien que notre ADN cellulaire soit à 99,99% identique à celui de nos semblables, la similitude entre les ADN microbiens de nos microbiotes ne dépasse pas 10%.

Notre microbiote est donc le meilleur reflet de notre identité, il nous permet de nous différencier des autres humains. Notre vécu périnatal influence notre microbiote. Chaque nouveau-né compose son propre microbiote lors de l'accouchement à partir de la flore vaginale de sa mère, puis le complète lors de l'allaitement par la flore buccale et la flore cutanée. Par la suite, son microbiote évolue constamment au fil de l'évolution de son alimentation, de ses contacts sociaux, de ses conflits, etc.

Les enfants nés par césarienne en salle stérile sont privés de la flore vaginale maternelle. Malheureusement, c’est un mode d’accouchement de plus en plus prisé par les gynécologues pour réduire les risques et leurs primes d’assurance ! Ceux qui sont privés d’allaitement maternel au nom d’une pseudo-science commerciale le sont aussi de la flore cutanée.

La théorie hygiéniste : une hypothese a revoir.

La précarité sociale combinée à un manque d'hygiène a certes pu faciliter le déclenchement ou la propagation de certaines infections, mais jouer dans ce que nous considérons comme de la saleté protège aussi ! Les enfants élevés au contact d’animaux domestiques ou dans les fermes présentent moins d’asthme et d’allergies. Inversement, l’excès d'hygiène dans les villes, les collectivités - surtout durant cette crise de la Covid-19 avec la désinfection massive des lieux, des objets et des mains avec du gel hydroalcoolique, avec le port du masque et de gants et l’hyper-vaccination ! - perturbe profondément notre microbiote et favorise l'apparition de microorganismes multi-résistants.

Depuis Louis Pasteur, le monde des microorganismes a souvent été noirci en raison de son refus de se soumettre à la volonté des humains. Les vaccins, les antibiotiques, les antimycotiques et les antiviraux ont été utilisés sans modération pour provoquer un véritable génocide des microorganismes. Cet usage immodéré par les médecins sous l'influence de l’industrie pharmaceutique a conduit les gouvernements à réglementer leurs prescriptions. Pourtant, ces microorganismes ont une fonction vitale pour l’écosystème, et leur suppression allopathique n'est pas sans conséquences pour la personne et sa descendance.

L’homéopathie, un "vaccin naturel"

Si depuis longtemps l'homéopathie agit sur le corps, elle sait désormais agir sur le microbiote. Les créatures sont aujourd’hui classées en 8 règnes du vivant (astral, minéral, micromycobactérioviral, mycélial, végétal, animal, huminal et spirituel).

Puisque les microorganismes constituant notre microbiote y sont sensibles, ils le sont également aux RNS (remèdes issus d’un des 8 règnes du vivant, nombre et symbole d'une dilution ou dynamisation homéopathique), VOICI un exemple de RNS : Arnica 15CH.

Les chamans du monde entier, des origines à nos jours, savent qu'il est possible de communiquer et d’interagir avec toutes les créatures sensibles des 8 règnes qui nous environnent et/ou qui nous composent.

Au même titre que les homéopathes énergétiques, ils peuvent faire appel à l'énergie de ces créatures pour nous venir en aide sous forme de remèdes personnalisés.

Samuel Hahnemann, fondateur de l’homéopathie, l'avait déjà bien perçu en mettant en évidence les miasmes (conséquences d’une infection à la suie d'une coupure). Car une maladie infectieuse n'a pas pour objectif de faire souffrir ou mourir quelqu’un, au contraire, elle sert à l’aider à évoluer pour qu'il s'adapte en permanence à son environnement.

D’ailleurs, on ne meurt pas d’une infection mais avec une infection, faute d’avoir pu utiliser correctement ses microorganismes pour effectuer les changements indispensables dans sa vie !

Quand la maladie crée le remede…

Parmi les remèdes homéopathiques créés par Hahnemann, il y a les nosodes. Ce sont des remèdes réalisés à partir de sécrétions de maladies infectieuses qui peuvent être d'origine mycobactériovirale, par exemple :

• Medorrhinum (issu de la gonorrhée)
• Luesinum ou Syphilinum (issu de la syphilis)
• Tuberculinum (extrait de la tuberculose)
• Psorinum (extrait de la gale)

… ou bien d’origine cellulaire, comme Carcinosinum (à partir des cancers).

… jusqu’a vaincre des épidémies

Mais les plus grands succès d'Hahnemann furent sans conteste ceux qu’il obtint lors des épidémies de typhus et de choléra, face auxquelles la médecine classique de l’époque était encore impuissante. Ce fut également le cas lors de la plus terrible épidémie mondiale de grippe, en 1918-1919.

Les homéopathes, avec deux remèdes - Bryonia pour la peur de mourir en restant enfermé à la maison, et Gelsemium pour la peur d’aller de l'avant et de sortir à l’air libre, ne connurent presque aucun décès parmi leurs patients.

Il en va de même encore chaque année pour les patients traités en homéopathie pour la grippe saisonnière, alors que la plupart ne sont pas vaccinés.

En outre, sur I'île de la Réunion, une pharmacienne homéopathe particulièrement inspirée trouva le remède épidémique au chikungunya Eupatorium, et ne connut aucun décès parmi ses clients, dont faisaient même partie certaines épouses de médecins.

Durant la pandémie de la Covid-19, des homéopathes du monde entier ont trouvé des remèdes homéopathiques capables de traiter efficacement leurs patients dès l'apparition des premiers symptômes, leur évitant l'hospitalisation voire le décès. Malheureusement, les mesures drastiques de confinement et d'isolement ont empêché bien des homéopathes d'aider leurs confrères plutôt sceptiques, concernant les patients en réanimation ou en maison de retraite. Or beaucoup de vies auraient peut-être pu être sauvées à moindre coût !

Le saviez vous ?

Des études récentes laissent supposer des relations jusque-là insoupçonnées entre notre microbiote, notre psychisme et de nombreuses maladies comme, par exemple, l’obésité, l’autisme, et la dépression.

Quelles solutions pour régénérer votre microbiote ?

Tous nos conflits quotidiens affectent variablement notre microbiote, et ce dans toutes ses sphères organiques, ils modifient par exemple l'odeur et la composition de nos sécrétions digestives, cutanées, urinaires, etc. Il est aujourd'hui possible d’étudier à prix relativement abordable la composition de notre microbiote, notamment au niveau digestif.

De l’alimentation a la physique quantique

Une alimentation biologique ou biodynamique non irradiée, pasteurisée ou stérilisée, ainsi que la supplémentation avec des prébiotiques et/ou probiotiques concentrés, des microorganismes efficients (EM) ou encore le recours à la transplantation fécale constituent une première approche médicale possible. L'homéopathie classique peut malheureusement de moins en moins intervenir, du fait qu'elle est en voie de disparition pour différentes raisons, telles que :

• Le non-remplacement des nombreux médecins partant à la retraite ;
• L’interdiction d’exercer l’homéopathie pour les professionnels non médecins ;
• Le déremboursement de l'homéopathie ;
• L’interdiction croissante de délivrer des remèdes ou des dilutions/ dynamisations homéopathiques.

Heureusement, de nouvelles technologies affranchies du monde médico-pharmaceutique et issues de la physique quantique (Etioscan, PhysioScan, Scio, Mora, etc.) permettent aujourd'hui de délivrer au niveau énergétique les RNS connus. Il en va de même avec La technique L’HoMShaM^®.

L’HoMSHaM^® : la thérapie qui rééquilibre le microbiote

L’HoMShaM^® (l’homéopathie shamanique), que j'ai mise au point et publiée sous le même titre, a été perfectionnée avec l'aide de mon épouse et de nos élèves pour permettre à tous d’accéder à l'homéopathie universelle gratuite et illimitée en matière de RNS, et ce en toute circonstance et à tout moment. Il devient ainsi effectivement possible d’agir en prévention sur le rééquilibrage de notre microbiote dans toutes ses déclinaisons corporelles, même en l'absence de symptômes ou de signes cliniques, grâce à des tests de kinésiologie. Ainsi, en réglant nos conflits, nous évitons qu’ils ne deviennent des pathologies.

En cas de dysbiose, de fermentation, de putréfaction ou de turista, c’est-à- dire de perturbations avérées de notre microbiote ou de maladies infectieuses, il est bien évidemment recommandé d’utiliser en premier lieu l’homéopathie pour faciliter la guérison et éviter les récidives, la chronicisation ou la destruction supplémentaire par les antibiotiques. L'homéopathie énergétique appliquée à notre microbiote nous aide alors à rester en bonne santé alignés entre ciel et terre, ainsi qu'à améliorer notre union dans l'amour, avec toutes les créatures sensibles qui nous entourent et participent avec nous à la vie.

L'homéopathie n'a pas que des amis !

Alors qu'une grande étude australienne publiée en 2015 avait démontré scientifiquement l'efficacité de l'homéopathie celle-ci fut aussitôt éradiquée comme la peste et remplacée par une nouvelle étude en 2018 qui démontrait fallacieusement le contraire ! Cette deuxième étude fut hélas mondialement utilisée pour la mise à mort de l'homéopathie dans les milieux scientifiques. Bien que la détermination des patients et des soignants australiens ait permis de faire "ressortir iudidainement et reconnaître l'étude de 2015, le mal était fait, privant ainsi de nombreuses personnes des bienfaits de l'homéopathie.

Pour aller plus loin

• Lire les articles sur la santé : "Articles sur la santé"
• Lire les articles sur L'HoMSHaM^® : "Articles sur L'HoMSHaM^®"
• Accéder aux activités en Art de la Santé Coopérative^® : "Activités en Art de la Santé Coopérative^®"
• Accéder aux activités sur L'HoMSHaM^®, voir : "Activités en HoMSHaM^®"

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