Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

Les cancers et maladies de l'épiderme

Dr Eduard Van den Bogaert en coopération avec Brigitte de Man*

*Brigitte De Man exerce à Anvers la thérapie cranio-sacrée avec une connaissance en Art de la Santé Coopérative®.

Femme à l'abrit du Soleil

Pour comprendre le langage biologique des maladies de la peau et des cancers il nous est nécessaire d’étudier les feuillets embryonnaires dont proviennent les cellules cutanées et d’en comprendre leurs fonctions biologiques.

L'épiderme sensible est originaire de l'ectoderme, le 2ème feuillet embryonnaire dont est aussi issu le système nerveux et dont dérive le méso-ectoderme d'où provient le système locomoteur. Ces systèmes permettent d'appréhender le monde extérieur associé par l'embryon, le fœtus et l'enfant au père de par le fait qu’il a été créé au sein du ventre de sa mère.

L'épiderme, la peau sensible, exposée à la lumière et au monde extérieur, s'est développé chez les mammifères au-dessus (epi) du derme, la couche profonde insensible et protectrice de la peau héritée des reptiles.

L'épiderme a pour fonction le contact kinesthésique, sensitif, sensuel, érotique même avec le monde extérieur et ce qui s’y trouve.

Ce qui se traduit par des expressions comme je l’ai dans la peau ou je ne le supporte pas, c’est épidermique.

Tous les organes ou tissus de l'ectoderme et du méso-ectoderme permettent ainsi à chacun d’entrer en communication avec le monde extérieur lié au père, à s’ouvrir à l’inconnu, à aller vers l’autre pour créer du contact sur tous les plans : physique, énergétique, émotionnel, mental, et spirituel. Aller vers le monde extérieur, est l’unique façon pour l’enfant de défusionner du monde de sa mère, de la quitter pour oser la découverte.

Ces mêmes organes ou tissus issus de l’ectoderme peuvent aussi marquer leur aversion à rentrer en communication avec le monde extérieur considéré alors comme différent de soi-même. L’enfant semble être englouti dans le monde de la mère et se coupe de la découverte du monde du père.

Lorsque qu’une personne vit un conflit pathogène en lien avec le monde extérieur et ce qui s’y trouve, les cellules ectodermiques déclenchent le programme biologique d'apoptose ou suicide cellulaire. Elles signent ainsi le ressenti de la personne en conflit, elles expriment son désir de disparaître et de couper tout contact.

Les maladies des tissus issus de l'ectoderme et méso-ectoderme sont en lien avec des conflits de dévalorisation, pour la personne qui en souffre, à ne pas pouvoir éviter le contact physique, énergétique, émotionnel, psychique ou spirituel non désiré. L’exposition au contact est alors vécue comme étant imposée et génère un ressenti d’impuissance à s’y soustraire. Inversement, les maladies de la peau peuvent signer des conflits de dévalorisation à ne pas pouvoir obtenir le contact physique, énergétique, émotionnel, psychique ou spirituel désiré avec le monde extérieur et générer, de ce fait, un ressenti d’incapacité et d’impuissance à obtenir ce contact.

I/ Le carcinome basocellulaire

Il s’agit du cancer le plus fréquent et le moins "agressif" de l'épiderme car il progresse lentement et se métastase rarement.

Nous vous livrons, à travers cet article, le chemin de guérison spontanée de Brigitte De Man. Sa guérison est survenue après un an de coopération intensive à cinq niveaux : le remplissage du carnet biomédical que nous avons constitué pour aider le patient à se connaître, la création et la compréhension de l’impact de son arbre généalogique sur son existence, la mise en image de son ressenti conflictuel à travers le collage et la vision globale de sa vie et de sa pathologie à travers la pyramide de facilitation de guérison mise au point pour aider le patient à synthétiser les données de ses recherches. C’est à travers ce chemin de découverte d’elle-même qu’elle a pu effectuer le décryptage bio-médical de sa maladie, percevoir son expression dans son existence et découvrir les actions nécessaires à poser pour intégrer ses découvertes et évoluer dans sa manière d’être en contact avec le monde extérieur.

Décryptage de l'arbre généalogique biomédical de Brigitte à la lueur de la fonction de l’ectoderme

On y trouve de très nombreuses séparations douloureuses suite à des licenciements, des décès prématurés, l’obligation d'éducation d'enfants par des tiers, des départs à l’étranger d'enfants et petits-enfants pour de longues périodes, des divorces… Brigitte éprouve aussi une réelle difficulté à être en contact serein avec son propre père et son ex partenaire, père de ses enfants. Ce dernier ne cesse de l’attaquer de diverses façons depuis leur divorce et aliène leurs enfants.

Un de ses fils quant à lui est aussi parti vivre à l’étranger dans le pays d’origine de son épouse et semble sous l’emprise de son autorité, on pourrait dire qu’elle porte la culotte. Sa belle- fille cherche ainsi à réduire le contact au minimum avec sa belle -mère et la tient de ce fait à l’écart de son fils comme de son petit-fils.

Les heurs et le manque de tact dans les rencontres familiales sont nombreux et légendaires. Il semble plus facile de parler à quelqu’un, qu’avec quelqu’un. Il est rare d’être sur la même longueur d’onde, de reconnaitre l’autorité de l’autre et de ne pas tomber dans des comportements autoritaristes et abusifs.

Dans cette systémique, depuis l’enfance, Brigitte s’est souvent faite petite par peur d’être abandonnée. Elle s’est toujours sentie seule et peu soutenue pour faire face à ses difficultés de vie.

Le collage de vision de Brigitte sur la maladie

Toutes les images, sélectionnées par affinité dans une revue achetée au feeling, avaient été chacune coupée en plusieurs morceaux. Aucune d’entre elles ne se touchaient, elles semblaient perdues dans l’immensité blanche de la feuille sur laquelle elles étaient collées.

Le conflit avec le contact, la séparation, la sensation de morcellement et d’abandon que Brigitte ressentait transparaissait. Cette sensation de perdition face à l’incapacité de rentrer en contact harmonieusement s’exprimait non seulement avec la disposition des images mais aussi de par le fait qu’elle n’avait pas suivi la consigne d’unifier les images de son collage grâce à une photocopie.

La pyramide de facilitation de guérison à 9 niveaux

Comme la maladie est multifactorielle, cette pyramide permet de classer les différents facteurs qui la concernent, de dégager le fil rouge et l'invariant qui lui est propre, de percevoir le sens évolutif que cette maladie a pour la personne souffrante et de trouver les actes spécifiques à poser pour intégrer la sagesse qu’elle tente de révéler.

Brigitte nous livre l’essence de la pyramide de facilitation de guérison à 9 niveaux qu’elle a réalisée au fil de sa coopération avec différents acteurs de la santé.

1) L'environnement extérieur et corporel

Le carcinome basocellulaire s'est développé dans la couche basale de l'épiderme de l'aile droite de mon nez. A cette époque, je travaillais comme actrice dans une série télévisée. J’avais retrouvé cet emploi juste après un licenciement collectif dans un théâtre quelques années plus tôt

Alors que j'étais heureuse d'avoir retrouvé un contrat de base, trois ans plus tard, je suis à nouveau licenciée.

Le carcinome est alors enlevé une première fois chirurgicalement. Cependant, 9 ans après l'opération, je suis toujours dans les mêmes interrogations, je continue à stresser par rapport à ma place et à me demander où est ma place et comment l’occuper ?

J’éprouve le désir de quitter le monde du théâtre. Ceci veut dire, ne plus travailler avec mon partenaire qui est metteur en scène. Il se sent abandonné, je ne me sens pas comprise.

2) Les comportements externes et internes

Je me sens à un croisement de vie. Je décide de donner une nouvelle orientation à mon existence. A côté d'activités théâtrales sporadiques, je démarre une formation en thérapie cranio-sacrée. Vais-je faire le pas de changer de secteur, d’installer mon cabinet et de démarrer ma pratique ?

Mon carcinome récidive : une ulcération apparaît sur la même aile du nez. Suite à mon cheminement, me refaire opérer ne colle plus à ma nouvelle vision de la maladie

Je consulte le Dr Van den Bogaert et, en prenant place sur un des deux sièges face à lui, je lui demande spontanément : "Me suis-je assise (base) à la bonne place ?" Cette question trahit mon conflit intérieur. Mais comme il dit : trahir, c'est guérir. Ma guérison commence.

Je réalise aussi que je suis venue seule à cette visite, non accompagnée par mon partenaire. Je suis à nouveau seule à me prendre en charge, à veiller sur moi, à m’épauler, à faire face.

 Je suis mon intuition et je pose un acte fort, métaphore de ma pathologie. Je décide de rénover intégralement les caves ou bases de notre maison qui ont été un lieu de dépôt pendant cent ans. Un travail de titan où je suis cette fois grandement épaulée par mon partenaire. Une semaine après la fin des quelques mois de travail, mon carcinome basocellulaire guérit spontanément.

3) Les capacités

Je sais que l’ulcération qui précède la tumeur permet d'accroître le contact avec le monde extérieur que l'on veut, dans mon cas, conserver et ce même si j’ai des difficultés à évoluer et à me défendre dans ce monde. Je réalise qu’en fait je suis devenue une grande gueule, mais ce n’est qu’une façade qui signe mon incapacité à rentrer en contact. J’ai peur de ne pas savoir me défendre, d’être rejetée, abandonnée.

Là où je "fais le mieux de mon nez", c’est en me cachant derrière des personnages. Attirer le regard du public me sécurise. Etre reconnue par le public assied mon autorité artistique. Je deviens quelque part la boss de mon boss. Je deviens capable de défendre ma base et de maintenir du contact avec mon public indépendamment de lui.

Je sais cependant, qu’au fond de moi, mon plus grand désir est d’être une vedette aux yeux de mon père qui ne m’a pas accordé l’attention dont j’avais besoin étant petite.

4) Les Ressentis Conflictuels Potentiellement Pathogènes (RCPP)

Je me sens dévalorisée et séparée à répétition par mon boss (baas) de l'exposition aux feux de la rampe et du contact bienveillant de mon public valorisant mon talent. Je ne me sens pas reconnue dans mon travail par mon boss. Je ne me sens pas à ma place. J'ai peur d'être licenciée par mon boss et séparée à nouveau du public. Avec ce deuxième licenciement, c'est comme si l’herbe avait été coupée sous mes pieds, je l’ai vécu comme une perte de contact immédiat avec le public, je me suis sentie déstabilisée, j’ai perdu mon assise. Le conflit déclencheur du carcinome fut la lettre de licenciement reçue. A partir de là, j’ai suivi mon intuition, j’ai senti que je devais opter pour ma pratique personnelle et devenir mon propre boss. Mon désir était d’assurer moi-même ma sécurité dans le monde extérieur, d’incarner ma place, d’avoir ma propre base dans l’environnement choisi et de veiller moi-même à la qualité et au suivi des contacts que je crée.

5) Les croyances, valeurs, convictions

Cependant, je crois que je n'ai toujours pas de base assez solide et de confiance pour initier ma pratique d'indépendante. Je crois que je n'ai pas encore trouvé ma place dans le monde. Quitter définitivement mon public reste douloureux et m’insécurise. Mais je crois aussi que tout est possible, qu’il suffit juste de trouver comment agir dans le monde pour y arriver. Je ne désire plus être un colosse aux pieds d’argile et voir ma base s’effondrer. Je ne désire plus être un personnage mis en scène pour avoir du contact, je suis prête à oser un réel contact.

6) L'identité

L'étude des mots des maux de mon carcinome baso-cellulaire m'a ouvert l’esprit. Carcin-ome baso cellul-air(e) = "carcin" <karkinos et kraken : monstres marins qui engloutissent les proies emprisonnées ; carci, carcer = prison ; "ome" = homme, home (maison en anglais); "baso" = baas qui signifie boss en néerlandais ou base = cave, fondations ; Cellul-air(e), prison-air, à l’air libre

En mettant tout ensemble, je pourrais dire :

Le monstre engloutissait ma maison, il était à l’intérieur de moi. Il mettait à mal ma base et poussait le colosse que j’étais à sortir de ma prison et à prendre l’air.

Je comprenais ainsi mieux pourquoi mon inconscient m’avait poussé à nettoyer mes caves. Ma base et la qualité de mon mantra om après ce nettoyage avaient rééquilibré ma sécurité intérieure. J’avais à présent une base solide pour aller vers le monde.

7) Le but

J’ai compris que l'ectoderme, feuillet embryonnaire dont sont originaires les cellules basales a pour fonction d'améliorer le contact et la communication avec le monde extérieur lié au père, et au sein duquel l’apprentissage du verbe défendre et se défendre est incontournable. La fonction des cellules basales est d’offrir un ancrage, une bonne base, pour faire face à l’inconnu, à l’imprévu, à l’imparable et à toute autorité extérieure symbolique de père.

Le moment a donc été pour moi d’oser l’inconnu, de m’assoir sur les bases que je me suis créées et de m’autoriser à être brillante dans ma pratique. Il s’agit à présent de devenir ma propre autorité dans le domaine que j’ai choisi. D’oser, sans metteur en scène. De passer de la petite fille à la femme qui n’a plus besoin du regard du père pour se "re-co-naître" car elle sait à présent qu’elle exprime sa "co-naissance" dans le monde. Cette connaissance qui est sienne depuis sa naissance. A présent, elle se reconnaît.

8) Le sens

Le sens généalogique de mon carcinome baso cellulaire se lit immédiatement dans mon nom : « De Man… » de l’homme … Je suis faite pour mettre mon masculin au service de mon féminin.

Les femmes de ma lignée se sont souvent retrouvées seules à devoir faire face dans le monde. Des petites filles ont été abandonnées par leur père, des femmes par leur mari, des mères par les pères.

Je viens d’une lignée de femmes dépendantes, maltraitées qui cherchent à se positionner et à arrêter la maltraitance féminine en osant reconnaitre leur valeur. L’aide de mon partenaire dans le nettoyage de mes caves bases a été capitale. De mon metteur en scène, il est devenu mon « activateur de base ».

Le carcinome baso cellulaire m'a aidé à donner une direction et un sens nouveau à ma vie. Développer mes talents de base, ce pourquoi je me sens faite. Devenir mon propre patron indépendant, assurant lui–même le contact avec le monde extérieur et son public.

Le sens évolutif de ma vie est évident. Il tourne autour de la communication et du contact à l’autre. De la communication cadrée au théâtre et à la télévision, qui génère un contact à l’autre géré par une autorité extérieure, je passe à présent à une communication avec l’autre qui me pousse à être en contact autant avec mon autorité intérieure qu’avec celle de mon client.

J’avais aussi à traverser la souffrance avec mon père pour m’ouvrir au père d’en haut et à mon père en moi. La discipline cranio-sacrée que j’avais choisie d’exercer était donc bien à propos.

9) La sagesse

C'est en se connectant (épiderme) à la réelle source d’autorité (Dieu, Lumière, …), en clarifiant et en solidifiant ses bases qu'on peut s'élever très haut dans la vie. Il devient alors possible d’accomplir sa mission de vie consciemment et devenir capitaine (baas, boss) de son âme. Il est alors possible d’être en contact avec sa voix intérieure et de la suivre dans les actions qu’elle nous invite à poser pour être adéquatement en contact avec le monde extérieur. Des prises de contact que j’ai déjà fortement faites miennes et que j’incarne de plus en plus chaque jour.

*****

En revisitant l'histoire d'autres patients ayant développé un carcinome basocellulaire, j'ai pu confirmer les pistes porteuses de guérison découvertes et suivies par Brigitte De Man.

 Chacun des patients ayant souffert de la même pathologie ont également été exposés au contact autoritaire d’une personne. Que ce soit celui d'un père, d'un (ex) partenaire, d'un enfant ou d'un bel-enfant, d'un patron (baas, boss) ou d'une autorité (politique, judiciaire, ordinale). Chacun d’eux a vécu un face à face douloureux qui ne pouvait, dans un premier temps, que les conduire à un retrait, à une perte de contact et à une mise à l’ombre douloureuse, que ce soit par une retraite anticipée forcée, un licenciement, un emprisonnement abusif ou en niant leur propre tempérament. Chacun de ces patients ont dû faire face à une impuissance à garder le contact désiré ou à s’en couper. Les cellules basales expriment une difficulté à faire face à la lumière solaire qui n’est autre que le symbole d’une autorité face à laquelle ils n’arrivent pas à se défendre et qu’ils vivent comme violente ou abusive.

Les conflits des maladies cutanées suivantes, plus rares, reprennent les termes en lien avec l'épiderme. Cependant chacun de ses conflits présente une spécificité qui lui est propre puisque l’origine des cellules concernées dans chacune de ces pathologies est différente.

2/ Le mélanome malin

Il se développe à partir des mélanocytes, cellules pigmentaires basales de l'épiderme. Considéré comme agressif (métastases), il reprend les conflits de l'épiderme avec une tonalité spécifique de peur tellement intense qu’elle en devient presque anesthésiante. Une peur qui est associée à une agression et/ou atteinte à l'intégrité physique et/ou morale : coup de soleil (symbole d’autorité abusive), mémoire d’amputation dont il faut s'arracher au propre (par un requin, un lion, par la torture, …) ou au figuré par souillure (parent incestuel, pédophile, violeur, attoucheur, harcèlement, esclavage, prostitution, …)

Il s’agit de la maladie des "bêtes noires" (melas en grec) qui occultent leur drame tant la douleur est insupportable

3/ Le mélanosarcome

Quand le naevus (grain de beauté) se cancérise, c'est pour se libérer des us du navi (re), c'est-à-dire pour quitter le navire ou cette galère. Pour quitter cette horreur qui souille la beauté de l’être humain. Il se peut qu’il y ait des mémoires possibles de galérien, d’esclavages ou de toute situation engendrant cette sensation de souillure

4/ Le carcinome à cellules de Merkel

Il est encore trois fois plus rare que le mélanome (2 à 3 personnes sur un million) mais en constante augmentation (8% par an). Sa fréquence augmente avec l'âge avancé (>70 ans) et est multipliée par 15 en cas d'immunodépression (HIV, greffes, …). Il est considéré comme très agressif (métastases et croissance rapide). Il est la 2ème cause de décès avec un cancer de l'épiderme. 80% des personnes qui le développent ont été "exposées" ou ont "contacté" un virus de la famille des polyomavirus. En collaboration avec les nerfs sensitifs, les cellules de Merkel interviennent dans le toucher pour percevoir spécifiquement ce qui est dur, mou, rugueux, doux. Il se développe surtout dans les zones "exposées" à la lumière (soleil, banc solaire) et donc aux regards.

C’est comme si ces personnes percevaient la qualité sensitive présente dans la lumière (symbole d’autorité) et étaient impuissantes à s’y soustraire ou incapables d’y trouver ce qu’elles recherchent.

Il prend la forme d'un nodule sus ou sous épidermique, dur, rose-rouge, parfois bleu-violacé, indolore et sans démangeaisons. Il n'attire pas l'attention, et comme il est souvent négligé ou ignoré par la personne qui en souffre la biopsie est nécessaire pour un diagnostic formel.

Ces quatre exemples du cancer de la peau vous permettent de réaliser combien il est nécessaire de classer les informations concernant la maladie et la vie de la personne dans une pyramide à plusieurs niveaux pour découvrir clairement en quoi la maladie exprime le conflit vécu par la personne et comment elle l’invite à le dépasser. Il est nécessaire de réaliser combien le décryptage de la maladie permet de décrypter celui du vécu de la personne qui en souffre ainsi que les changements que sa maladie l’invite à réaliser pour dépasser son conflit et évoluer.

Ces quatre exemples permettent aussi de percevoir comment des cellules différentes font des maladies différentes et permettent ainsi d’exprimer une tonalité de conflit différent et ce, même si ces maladies présentent des ressemblances dues à l’origine commune du feuillet embryonnaire d’où elles proviennent, dans ce cas-ci, l’épiderme-ectoderme.

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