Quand sert le cancer ?
Le cancer se développe parce qu’il sert à quelque chose. Et on peut l’arrêter spontanément quand on a compris son message.
Extraits de la conférence du docteur Eduard Van den Bogaert donnée dans le cadre du Congrès Eureka « Cancer : la fin d’une maladie de civilisation » organisé par Quantique Planète à Aix-en-Provence, les 22 et 23 Novembre 2014.
Propos recueillis par Bernard Deloupy
Quand sert le cancer ? La question semble incongrue mais le paradoxe n’est qu’apparent. Un cancer n’est pas quelque chose qui tombe du ciel, qui se développe de façon totalement anarchique et ne sert à rien. Au contraire, il s’inscrit dans la vie, la longue histoire de l’Évolution. Dès l’instant où le spermatozoïde féconde l’ovule, et pendant toute la durée de la grossesse, nous revivons cette histoire. Il existe un parallélisme incroyable entre l’histoire de l’évolution de la vie depuis ses origines jusqu’à aujourd’hui - le développement embryonnaire - et le développement d’une tumeur. Si nous prenons conscience de cela, il nous sera difficile de conserver le même regard sur le cancer que celui qu’on veut nous faire avoir pour des raisons en général purement mercantiles.
En evidence based médecine, la référence aujourd’hui en médecine, on dit que le cancer est « une maladie multifactorielle dont on ne connaît toujours pas vraiment les origines ». Or les facteurs multiples qui concourent à son éclosion ont peut-être bien quelque chose en commun, que la plupart du temps nous ignorons. Recherchons donc précisément ce qu'il y a de commun entre eux.
La traduction littérale de evidence based médecine est « La médecine basée sur les faits ».
Voyons en quoi un cancer est un bien-fait pour ceux qui en comprennent la sagesse.
Dans cette réflexion sur le rôle du cancer, recherchons d’abord le symbole, issu du mot grec qui signifie « mettre ensemble ». Cherchons ce qu’il y a de commun entre tous les cancers qui se développent sur une même partie du corps. Et ce que les gens qui développent le même cancer, dans la même cellule, au même endroit du corps, ont bien pu avoir en commun ? En biologie on va l’appeler l’invariant biologique, c’est à dire ce que l'on va retrouver systématiquement. La médecine classique éprouve énormément de difficultés avec la notion de l’invariant. On nous dit : « Non, le stress ne joue aucun rôle dans l’apparition d’un cancer », « Bien sûr, parfois certaines maladies psychosomatiques trouvent leur origine dans le stress » ou « Le stress est un des facteurs parmi tant d’autres… ». Mais pour moi, cet invariant est la chose la plus importante que l’on a pu mettre en évidence à ce jour en médecine.
Je vous en propose la démonstration selon une approche mytho-bio-logique en neuf niveaux. L’hémisphère cérébral gauche est celui du logos, du verbe, de la logique et il contient le centre de la parole. L’hémisphère droit, lui, est celui du mythos, littéralement en grec, « la fable », qui cherche le fil rouge, silencieux (mutus en latin) comme lors d'une méditation.
Premier niveau : L’environnement
Commençons par nous pencher sur l’environnement dans lequel le cancer se développe. Il a son rôle, certes, mais de là à dire que l’environnement est la cause du cancer c’est un raccourci qu’on se permet parfois de faire en sciences, mais qui peut-être abusif. Par exemple, l’affirmation que « le tabac tue » n’a rien de scientifique. De fait, les statistiques révèlent que 99% des gens qui ont un cancer du poumon sont fumeurs. Mais peut-on pour autant en déduire que le tabac est responsable du cancer du poumon ? Non : Seuls 13% des fumeurs développent un cancer du poumon. Mais cette statistique, même en médecine on la passe très vite sous silence. Le tabac n'est pas la cause du cancer du poumon.
Prenons l’exemple d’un mineur qui sort de la mine, les entrailles de la Terre Mère, à l’issue de sa journée de travail. Il y a risqué sa vie à chaque instant. En forant, il aurait pu être noyé par une poche d’eau, volatilisé par l’explosion d’une poche de gaz ou finir enseveli sous un éboulement. Il a travaillé en permanence dans l’angoisse de la mort. Et comme tous les êtres humains, il a peur d’être envahi par le froid glacial de la mort, en se faisant aspirer son souffle de vie comme dans Harry Potter. Aussi quand il émerge à l’air libre, son premier réflexe peut-il être de s’allumer une cigarette dont l’extrémité rougeoie à 800°. L’air qu’il respire alors est chaud et il assimile cette chaleur à la vie elle-même. On peut donc dire que les gens qui ressentent l’angoisse de la mort ont plus de chance que d’autres de fumer, pour diminuer l'angoisse de mort. A un moment donné, il se peut qu'ils aient besoin de développer un cancer du poumon. Mais pour rester en vie, pas pour mourir.
Ce qu’on nous a fait croire, c’est que le cancer sert à nous tuer. Or, c’est confondre la pointe de l’iceberg avec sa base immergée, dissimulée sous la surface. Quand le sage pointe la lune du doigt, le sot regarde le doigt…
Le cancer n’est pas le problème, mais le simple avertisseur d’un grave problème sous-jacent à résoudre d'urgence
En fait le cancer est semblable à un témoin qui s’allumerait sur un pupitre de contrôle pour nous signaler une dysfonction. Mais il n’est pas le problème principal, il se contente d’attirer l’attention sur ce dernier. Et d’indiquer que si on ne résout pas ce problème, si on refuse d’évoluer, on va mourir de ne pas avoir évolué avec ce cancer. On ne meurt donc pas du cancer, mais avec un cancer. Faute d’avoir su l’utiliser avec sagesse pour changer ce qui était nécessaire dans notre vie, pour nous adapter à un nouvel environnement.
Nous savons tous qu’il existe des cas de guérisons spontanées que même la science rapporte (Case Report). Elles se font sans l’intervention d’un guérisseur, d’un médecin ou de médicaments, sur la base de nos seules compétences humaines et personnelles. Cela veut dire que nous avons la capacité de déclencher des cancers parce que nous en avons besoin et que nous avons la capacité de les arrêter de la même manière que nous les avons déclenchés, le jour où nous n’en avons plus besoin.
Je peux témoigner avoir assisté à des centaines de guérisons spontanées au cours de mes trente dernières années de pratiques médicales. Je n’en suis pas responsable, ce serait voler le mérite aux patients qui ont réussi à changer grâce à leur maladie.
Un cancer est donc un véhicule évolutif. Si vous avez atteint votre destination, il serait insensé de rester dans ce véhicule, de garder ce cancer. Il vous faut le quitter.
La meilleure façon de comprendre l’influence de l’environnement est de présenter un exemple.
Histoire vécue : L’ingénieur et l’affaire Dutroux
Un jour, un patient arrive à un atelier, grabataire, souffrant d’une énorme tumeur de la plèvre en phase terminale. C’était un ingénieur chargé de la protection des travailleurs de l’usine qui l’employait. Au début de sa carrière, un accident est arrivé : Un arc électrique entre deux machines a foudroyé un ouvrier et, en tant que responsable de la protection des hommes, il s’est senti coupable. Ce jour là, il a programmé son cancer de la plèvre.
Parce que le rôle de la plèvre est de protéger le poumon, il lui fallait assurer davantage de sécurité, isoler les équipements à risque. Aussi, dans les années soixante, quand il a appris l’arrivée de nouveaux matériaux sur le marché, il a fait poser de l’amiante sur les machines pour les isoler, éviter les arcs électriques et protéger les ouvriers de la mort.
Bien entendu, les machines en frottant ont libéré de la poussière d’amiante dans l’atelier, respirée abondamment par les ouvriers qui se croyaient en sécurité, bien protégés par l’ingénieur qui avait la connaissance. Tandis que lui, dont le bureau était situé à l’extérieur, en respirait beaucoup moins. En fait, ce sont les ouvriers qui auraient dû déclencher des cancers de la plèvre si l’environnement était le seul facteur déclenchant.
Des années plus tard, un nouvel accident se produit : Une chaîne se rompt, une pièce mécanique chute et écrase de sa masse un ouvrier. Il se sent à nouveau coupable car il n’a pas rempli sa tâche d’ingénieur, payé bien plus cher que les ouvriers pour assurer leur protection. Il a failli à sa tâche et il déclenche alors son cancer de la plèvre, une volumineuse masse inopérable. Il est condamné par la science.
En dernière extrémité, il vient travailler avec nous et nous arrivons à lui faire comprendre le lien avec ce qui s’est passé à l’usine. Et, au-delà, avec ce qui s’est passé dans sa petite enfance : Une nuit, ses parents l’éveillent car son petit frère était en pleine crise d’appendicite. Arrivés à l’hôpital, ils s’entendent dire qu’on ne peut opérer l’enfant car il a mangé depuis trop peu de temps. Il faut donc attendre et il assiste, impuissant, à la mort de son petit frère. D’ailleurs, tout au long de son arbre généalogique, on découvre que l’histoire de cette famille est émaillée de décès par manque de protection. Quand il prend conscience de tout ce processus, un énorme déclic se produit en lui. En l’espace de quinze jours, son mésothéliome disparaît intégralement. Guérison spontanée. Il reprend sa vie, repart en vacances, envoie des cartes postales du monde entier à tout son entourage, à ses oncologues, son chirurgien car ce qui s’est passé est miraculeux. Des années plus tard, il se trouve sur un marché avec ses petites filles et les perd tout à coup de vue. Pour comprendre l’importance de l’environnement, il faut se resituer dans le contexte : Cela se passe en Belgique à l’époque de l’affaire Dutroux, ce pédophile tristement célèbre. En cet instant, son cerveau s’imagine qu’elles vont finir comme les petites victimes Julie et Mélissa et il se dit qu’il a encore failli à son devoir de protection. Une minute plus tard, il les retrouve saines et sauves, en train de jouer tranquillement. Mais ce troisième choc, d’autant qu’il s’agit de sa propre descendance, est celui de trop. Le lendemain, il connaît une récidive fulgurante et décède une semaine plus tard. Est ce le mésothéliome qui l'a tué ? Ses petites filles ? L’amiante ? La machine qui avait écrasé un ouvrier ? L’arc électrique de ses débuts ? Son petit frère ? Non, c’est ce que lui a vécu dans sa tête, dans ses émotions.
Ce sont ses émotions qui l’ont tué
L’environnement joue donc un rôle de révélateur et transformateur. Dans un environnement donné, on va avoir des comportements particuliers. Toute maladie est un comportement que la médecine considère comme anormal mais qui est parfaitement normal si on comprend dans quel contexte il survient. En fait, le cancer nous permet de créer plus de cellules. Et si on a davantage de cellules, on sait faire plus que les autres. De surcroit, on se rend compte qu’elle sont capables de réaliser des choses que les cellules normales dont elles sont originaires sont incapables de faire.
C’est sa croyance qu’il méritait la peine de mort qui l’a tué
On voit donc que les ressentis conflictuels qu’on a, contrairement à ce que pensent les psycho-oncologues par ignorance, jouent un rôle capital dans la programmation et le déclenchement des cancers. Ce qui nous empêche de guérir, ce sont les croyances car cet homme est mort avec le mésothéliome dont il avait su guérir auparavant en réalisant qu’il n’était pas directement responsable des décès des ouvriers et de son petit frère. Mais quand la peur a concerné ses propres petits-enfants, il s’est construit la croyance qu’il méritait la peine de mort et il est mort avec sa croyance.
Quand sert le cancer ?
L’alimentation joue bien entendu un rôle important sur le terrain. Mais regardons surtout les nourritures affectives empoisonnées qui se cachent derrière elle. Depuis la deuxième guerre mondiale, on a introduit dans notre environnement plus de 100.000 nouvelles molécules chimiques. Qu’il s’agisse d’engrais, de pesticides, de médicaments, on en trouve dans les eaux, dans les airs, dans les légumes, dans les fruits, dans les animaux bourrés d’antibiotiques pour devenir plus résistants aux maladies. Et même dans les produits bio, bien qu’à moindre échelle. Nous baignons dans les substances chimiques. Quand on analyse le sang du cordon ombilical d’un nouveau-né, on y trouve déjà 250 toxines, il est déjà bourré de métaux lourds. Et nous baignons dans un bain de milliards d’ondes radios, GSM , TV, wi-fi… De plus, nous sommes en contact permanent avec nos contemporains, nous recevons les pensées, les émotions de notre entourage. Nous baignons dans un bain sensoriel, un bain social.
Il n’y a que deux types de solutions face à ce tsunami d’informations : Soit on cherche à lutter contre ce qui est perçu comme une agression, mais le combat est perdu d’avance car ils sont des milliards en face de nous.
Soit on cherche à s’adapter. Or, le corps a une capacité de plasticité extraordinaire: Celle de transmuter, de transformer les choses. Nous avons la capacité de nous adapter à notre environnement chimique, physique, psychique, familial, social, politique, national.
Nous avons des capacités que nous ne soupçonnons même pas, comme le suggère le film « Lucy » de Luc Besson qui nous montre ce que l’on pourrait envisager si l’on utilisait plus de 10% de nos gênes et la pleine capacité de notre cerveau.
Le cancer est notre allié, il sert à nous adapter à des situations conflictuelles
Alors, quand sert le cancer ? Eh bien, quand nous devons impérativement réagir pour nous adapter intelligemment aux aléas de la vie. Face à l'inconnu, l’imprévu et l'inutile apparemment, nous avons la possibilité de produire des anti-corps, de « lutter contre ». Le préfixe latin im signifie « sans » en français. Im-(m)unité signifie « pas d’unité ». Ça veut dire que chaque fois qu’on n’est pas dans l’unité, on est dans le combat. Or nous sommes persuadés que les anticorps sont là pour lutter contre le cancer. Mais le cancer n’est pas l’ennemi. C’est notre allié en terme d’évolution. Nous n’avons pas de perspective, de vision à long terme, nous vivons petits, étriqués, sans connaissance d’où on vient et où l’on veut vraiment aller.
Si vous écoutez le français avec une oreille kabbalistique, vous aurez sans doute déjà entendu que le mot tumeur peut s’écrire « tu meurs ». Et quel est le contraire de « tu meurs » ? «Tu es en vie, tu envies ».
Aussi, la première question que je pose à tous mes patients, et plus encore en phase terminale, venus me consulter, c’est cette phrase magique : « De quoi avez-vous envie ? » Certains ne savent pas répondre, ce sont des morts vivants. Alors, pour les provoquer, littéralement les « mettre sur la voie », je leur dis : « Vous êtes en dépression et le pronostic qu’on vous a fait que vous aller mourir va se réaliser car vous allez croire à cette prophétie. Mais si vous changez, vous pouvez vivre et guérir».
Histoire vécue : L’enfant et le gros chien.
A ce propos, je viens encore de vivre une histoire magnifique. L’un de mes confrères et sa femme infirmière m’amènent leur jeune fille de 14 ans atteinte d’un lymphome hodgkinien en phase terminale. Elle est décharnée, prostrée, sans énergie, déjà presqu’un cadavre. Quand je lui demande ce dont elle a envie, elle ne sait pas. Je la provoque volontairement jusqu’à ce que, finalement irritée, elle arrive à me dire qu’elle veut un chinchilla. La mère, un peu maniaque, ne semble guère ravie de cette envie. Je lui demande alors si elle préfère sa fille peut-être encore vivante avec un chinchilla ou assurément morte sans. Les parents n’hésitent pas une seconde et se précipitent dans la première animalerie. La jeune fille ose alors dire à sa mère qu’elle préfère un chihahua . Elle revient avec lui, ravie, mais deux jours plus tard il est à l’article de la mort. Elle le reporte au magasin et là, elle ose encore plus, et demande un gros chien, un Shiba Inu. Ce chien va révolutionner la systémique familiale mortifère. Contrairement aux pronostics médicaux, la petite ne meurt pas et au contrôle suivant on ne peut que constater une guérison spontanée totale. La jeune fille a une réaction magnifique. Elle nous dit qu’elle veut suivre des études de psychologie pour pouvoir transmettre à tous les gens qui ont le cancer l’expérience qu’elle vient de vivre.
Le décryptage symbolique de ce succès inespéré pourrait être :
CHI(E)N/CHI/LA= Elle a le CHI avec le chien
CHI/HUAHUA(WAWA)= CHI avec le chien (ouah-ouah signifiant chien dans la langue des enfants)
SHI = CHI/BA/I/N(O)U= Nous ( la famille) Avons le CHI avec le chien (CHI(E)N) et la semence i (yod) du père (AB) en hébreu
HODGKIN= H ( le souffle porteur du chi) – ODG (God, dog) - KIN(KANIS, chien en latin)
Le CHI chez les chinois est l'énergie vitale qui circule en nous, et le chien est le gardien des enfers et des passions cani-culaires.
Deuxième niveau : les comportements
Contrairement à ce que l’on peut croire, le développement d’un cancer n’est pas inintelligent et anarchique mais suit exactement le développement de la vie. Or celle-ci commence par le néant. Puis arrive le big-bang, avec de la lumière, du son, des odeurs. La première chose qui apparaît, c’est le monde astro-minéral, celui des atomes.
Il existe un invariant en matière de vie, elle comprend toujours un noyau, du vide et quelque chose autour. On retrouve aussi ça dans le monde astral : le soleil, de l’espace intersidéral et des planètes qui font leur révolution autour.
En alchimie, quand on fusionne deux atomes, on peut créer un nouvel atome, c’est ce qu’on appelle la transmutation. Ainsi la fusion de deux atomes d’hydrogène donne un atome d’hélium. En chimie, des atomes peuvent s’attacher l’un à l’autre pour donner une molécule. Les molécules peuvent alors s’associer pour donner des macro-molécules, comme l’ADN par exemple. Quand ces macro-molécules s’entourent d’une fine membrane, elles deviennent des micro-organismes, des probiotes, des bactéries. Là aussi dans l’évolution, deux bactéries peuvent fusionner et l’une des deux peut devenir à l’intérieur de l’autre ce que l’on appelle en cytologie une mitochondrie. Ainsi deux bactéries arrivent à créer une pré-cellule. Au cours de l’évolution, on constate que des virus peuvent rentrer à l’intérieur des bactéries et des cellules pour injecter leur morceau d’ADN ou d’ARN dans le noyau. On vient ainsi tout récemment de faire une découverte passionnante. Deux porteurs du sida ont réussi à intégrer dans leur génome le virus du sida. Une fois intégré dans leurs gênes, le virus est devenu eux. Ils n’étaient alors plus en immunité mais en unité avec le virus, n’avaient donc plus besoin de la maladie et ne l’ont plus développée. Guérison spontanée.
En séquençant notre génome, on a découvert qu’il contient 8% de gène d’origine virale. Ensuite apparaissent les cellules également constituées d’un noyau, d’un vide et d’une membrane. Une cellule peut donc également se multiplier. Si dans un état embryonnaire cette petite boule commence à se former, quand vous mettez un cancer à côté vous ne pouvez pas faire la différence. Ce sont deux cellules qui se multiplient pour créer une petite boule qui ressemble à une mûre. Puis les cellules vont se différencier et migrer pour donner naissance à tous nos organes. Avec le cancer aussi, des cellules plus ou moins différenciées vont migrer. Cela s’appelle des métastases, du grec Meta-Stasis signifiant « qui s’arrête » (stase) au-delà (méta) de la tumeur primitive.
Quand une mère dit « j’ai mes enfants en tête et dans le cœur », c’est biologique
Mais déjà, chez l’embryon, des cellules souches plus ou moins différenciées peuvent migrer à travers le placenta et métastasier partout dans le corps de la mère. Cela s’appelle en épigénétique la chimérisation car la mère devient une sorte de chimère, un personnage de la mythologie grecque composé de cellules de différents êtres.
Il s’opère un échange de cellules entre la mère et l’enfant. Des cellules de la mère se détachent pour métastaser partout dans l’embryon et le fœtus et des cellules de l’enfant traversent le placenta et vont s’implanter partout dans le corps de la mère. Quand une mère dit « j’ai mes enfants en tête et dans le cœur », c’est biologique, c’est cellulaire. Mais cela signifie aussi que chaque femme porte en elle de l’ADN de l’homme avec lequel elle a conçu ses enfants. Or l’ADN est sensible, il réagit à la lumière, aux sons, aux émotions, aux hormones. Donc toute femme porte en elle à la fois des cellules de sa mère, de ses enfants, de l’ADN de son père et du ou des pères de ses enfants. Et tout cela peut développer un cancer si nécessaire. Mais pour le déclencher il faut qu’il y ait un conflit. C’est pour cela qu’il est intéressant de régler les problèmes de divorces car la séparation ne règle pas tout.
Troisième niveau : les (in)capacités
Le parallèle avec l’Évolution continue avec l’organisation : Les cellules commencent ensuite à se déplacer et on voit apparaître le même invariant. Elles vont créer, non plus une boule de cellules, mais deux couches sphériques concentriques de cellules appelées feuillets embryonnaires : Une couche interne, l’endoderme, et une couche externe, l’ectoderme. Des tumeurs prennent leur origine dans chacun de ces tissus mais elles ne réagissent pas du tout pareil.
A l’image de la croissance embryonnaire, la croissance tumorale est le fruit d’une parfaite programmation génétique.
Puis dans l’évolution apparaît la polarisation: Le ver de terre n’est qu’un tube digestif avec un avant et un arrière. Quand il commence à se redresser chez l’ancêtre lointain de l’être humain, apparaissent un haut, un bas, une gauche et une droite. On constate la même chose dans une tumeur, elle est polarisée, vascularisée. Or ceci n’est pas un processus anarchique mais le fruit d’une parfaite programmation génétique. Donc une organisation intelligente, appelée « Dessin intelligent », préside à la croissance de cette tumeur comme à celle des embryons et de toute forme de vie.
Le tube digestif primitif du ver de terre dont on a hérité, va développer au cours de l’évolution une quantité phénoménale de tumeurs. Avec le temps elles ont montré quand et à quoi elles pouvaient servir : l’hypophyse, les amygdales, la thyroïde, les poumons, le cœur, l’estomac, le foie, la rate, le pancréas, les surrénales, les reins, les gonades, la prostate, les glandes mammaires… toutes ces excroissances du tube digestif originel ont donné des organes dont nous connaissons parfaitement aujourd’hui la fonction. Mais je ne suis pas sûr que le ver de terre à l’époque savait que ces tumeurs avaient du sens en terme d’évolution.
Si l’on observe les tumeurs, on constate un parallèle étonnant avec le développement de l’embryon : Il s’agit toujours de quelque chose qui pousse avec une boule au bout. Ça s’appelle un polype. Nous ne sommes donc qu’une succession de polypes intestinaux ou autres.
Le dernier stade de cette croissance embryonnaire, c’est que la boule va se sculpter à l’extrémité. On appelle cela l’apoptose, le suicide cellulaire. Ainsi, le polype qui s’était développé à l’extrémité du corps devient une main sur un bras.
Grâce au cancer, puisqu’il y a plus de cellules, on peut aller plus loin, plus vite, plus fort. Dans le cancer endodermique on constate que se créent de nouveaux organes. Ici le cancer innove, crée, construit. Le cancer ectodermique, lui, rénove, recrée, reconstruit. Quand on casse un os, se crée une tumeur autour. On l’appelle un cal osseux, c’est une prolifération très rapide de cellules jeunes qui sert à le consolider. En immobilisant le membre cassé on permet d’éviter le développement « cancéreux » du cal. Il s’agit ici d’une bonne tumeur. Sauf que tous les tissus d’origine ectodermique qui sont abîmés, qu’il s’agisse des muscles, des tendons, créent une masse autour d’eux, une calcification, qui sont autant de tumeurs de réparation. En revanche chaque fois qu’apparaît une tumeur sur les structures digestives, c’est pour créer un organe supplémentaire, pour nous permettre de faire quelque chose que nous ne pouvons faire autrement.
Quatrième niveau : Les ressentis conflictuels
Lorsqu’il ne peut s’adapter et évoluer, l’être humain régresse, involue en bête dans le monde animal comme les hooligans, par exemple. En revanche, certaines personnes ont tellement de mal avec leur humanité qu’elles vont régresser dans le monde végétal, végéter, enracinées dans leur fauteuil devant le poste de télévision. Et puis il y a celles qui régressent dans le monde micro-myco-bactério-viral, elles sont infectes, puantes, des macérats d’émotions putrides. Et puis d’autres vont régresser plus loin dans le monde minéral. Elles vont devenir stone, de marbre, avec un cœur de pierre, tranchantes et froides comme du métal. Enfin il y a celles qui n’en peuvent plus de ce monde et partent vers le monde astral, sur la lune, dans les étoiles, s’enfuient vers le monde de la psychose. C’est tellement plus facile d’imputer la responsabilité aux autres plutôt qu’à soi-même…
Et puis arrive le stress évolutif, souvent dû à un accident. «C’est bien fait pour lui » dira parfois notre entourage. En ce cas, la mésaventure qui nous arrive est effectivement un bienfait. Quand on tombe par terre, c’est qu’on a déjà un pied dans la tombe. La chute me signale qu’il est temps que je me relève, que je n’étais plus dans mon corps, que j’étais déjà en partance. Toute situation de stress est donc providentielle si on peut la voir dans une perspective évolutive et de guérison. On peut l’aborder avec humour, avec poésie, avec philosophie et intelligence.
Toute situation de stress est providentielle si on la considère dans une perspective évolutive
Boris Cyrulnik rappelait récemment que les premiers à mourir dans les camps de concentration n’avaient pas été les plus forts en apparence, les athlètes. Leur masse de stress de ne plus pouvoir s’entrainer, d’être astreints aux travaux forcés les a fait disparaître les premiers. En revanche, la plupart des poètes et des philosophes ont survécu, car ils détenaient les clés de la transformation. Ce qui nous fait mourir, c’est le manque de poésie, de philosophie et de sagesse dans notre vie.
Cinquième niveau : Les croyances
La croyance populaire est que le cancer est une fatalité, une malédiction céleste, un crabe qui vous prend dans ses pinces et vous grignote inexorablement. C’est faux, car de nombreux patients en guérissent spontanément, même si ce n’est pas encore la majorité bien entendu.
Le cancer est un bienfait
Alors je vous propose une image mentale nouvelle : Le cancer est une bénédiction dans le sens premier du terme, pour arrêter l’involution et nous remettre dans le chemin de notre évolution en pouvant bien dire tous nos secrets et malédictions.
Sixième niveau : L’identité
Alors, qu’est-ce que c’est que le cancer ? La définition officielle est : « Un nouveau développement (néoplasie) de type embryonnaire mais qualifié d’oncologique à partir de la prolifération supposée anarchique et incontrôlable d’une cellule du corps devenue immortelle ».
Intéressons-nous un instant à ce que dit la neurolinguistique sur ces mots des maux ?
1- Dans les pays nordiques, la racine du mot cancer vient du Kraken norvégien, un monstre marin tentaculaire mythologique. En néerlandais, kraken signifie « craquer, broyer »… Alors, il appartient déjà au patient atteint d’un cancer de se poser la question : « Quelle est la chose qui me broie dans ma vie ? »
A l’heure où le « crabe » nous broie, posons-nous la question : « Qu’est-ce qui me broie dans ma vie » ou « En quoi suis-un crabe? »
Le verbe kankeren en néerlandais signifie « pester, fulminer » mais il peut également s’écrire kan keren, c’est-à-dire « qui peut se retourner ». En d’autres termes, sortir de l’involution pour retourner vers l’évolution.
En français, espagnol, anglais et italien, la racine vient du grec Karkinos, un autre monstre marin mythologique, le crabe. Mais en vieux français, le mot « monstre » signifiait « montre ». Il nous montre qu’on n’est pas dans la bonne direction, celle de la vie, et nous retient pour nous éviter d'aller plus avant vers la mort.
2- Anarchie vient de anarkhia qui signifie « absence de chef, de maître ». Cela veut dire que quand on n’est plus dans notre temple, il n’y a plus de maître à bord et n’importe quelle mémoire ancestrale ou environnementale peut prendre le contrôle de nous.
Et en hébreu, le préfixe an vient de la lettre alef qui fait le lien entre le créateur et sa création. Anarchie signifie alors que le lien, l’arc en ciel, l’arche d’alliance, est rompu.
D’ailleurs tous les guérisseurs l’affirment : Il n’y a pas de guérison sans lien avec Dieu.
3- Im-mortelle signifie aussi qu’elle n’est « pas mortelle ».
4- La terminaison ome (« tumeur ») caractérise tous les cancers : sarcome, carcinome, mélanome, prolactinome, adénome, on la retrouve même phonétiquement dans épithélium. Et qu’est ce que le cancer nous dit au niveau linguistique ? Le mantra om ou aum pour les indiens, c’est la syllabe sacrée universelle, le son originel, la source de toute vie. Donc, en entendant cette terminaison, les sots paniquent à mort mais les sages entendent le mantra de vie.
5- Enfin, quels sont les verbes psychomoteurs spécifiques du cancer ? Croître, développer, innover, rénover, déplacer, délocaliser, évoluer. C’est ce qui reste à faire pour faire partie de cette élite qui guérit spontanément du cancer. Mais comme toute élite ( « petit nombre » en grec), elle est appelée à grandir et métastasier dans le monde comme à la Pentecôte dans la chrétienté.
Septième niveau : Le projet
Quel est le but du cancer, de quelle intention positive procède-t-il? La réponse de la Programmation neuro-linguistique (PNL) est que toute chose nouvelle (néo) développée (plasie) procède d’une envie (en-vie). Ou d’une intention positive et évolutive pour répondre à un besoin nouveau et un projet intelligent de vie dont le sens sera révélé à l’usage.
Huitième niveau : Le bon sens
Le bon sens populaire de la signification d’une tumeur est une évidence. Si tu arrives à « mourir à », c’est-à-dire si tu fais « le deuil de », alors tu ne dois plus « mourir avec » ton cancer. Tous les gens que j’ai vu guérir, même en phase terminale, sont ceux qui ont accepté de faire un deuil de quelque chose d’énorme, souvent bien enfermée car trop douloureuse, pour ensuite oser réaliser leur en-vie profonde.
Neuvième niveau : La sagesse
Grâce à ce travail de deuil parfois karmique, parfois transgénérationnel, parfois périnatal, parfois dans la petite enfance avant l’acquisition de la parole, on peut mourir à ce qui nous tue et saisir l’opportunité que nous a offert cette crise de commencer la vie nouvelle et meilleure qui se présente à nous. C’est d’ailleurs le sens du mot crise en chinois car il est représenté par l’association de deux idéogrammes : « danger de mort » et « opportunité ».
Conclusion
Alors quand sert le cancer ? Quand on en a vraiment le plus besoin pour s’adapter à un monde devenu fou, soumis à un changement perpétuel qui accélère sans cesse. Mais le changement, c’est la vie. Aussi, plutôt que de limiter la vitesse de nos voitures-corps de plus en plus performantes, apprenons à devenir des pilotes de formule I qui ne tournent plus en rond mais foncent avec bonheur sur le chemin de Vie.
Alors, avec le cancer, bougez-vous pour sentir, sentez pour comprendre, comprenez pour bien communiquer et communiquez pour être bien.
Quels outils utiliser pour guérir ?
Comment faciliter la guérison et le mieux-être ? Qu’est-ce qui programme nos comportements maladisants ? En quoi la maladie est-elle une solution archaïque de survie du cerveau, qui nous offre un sursis quand on ne trouve pas de solution mentale de dépassement intelligent pour évoluer et vivre mieux ? Comment redonner un sens à sa vie, retrouver ses envies et ses motivations profondes quand on est déprimé avec une maladie grave, dite incurable, un accident ou un handicap ? Au fond, qu’est-ce que le « mal a dit » ?
Pour le savoir, au-delà de « l’homéopathie sensitive » que j’expérimente avec succès depuis trente ans, je mets au point pour mes patients un dossier global de décodage bio-médical : Une véritable enquête à la manière de Sherlock Holmes dont l'auteur, Sir Conan Doyle était d’ailleurs médecin et élève du professeur Bell, brillant observateur clinique. Ce travail de recherche et d'organisation des informations permet de mettre en évidence ce qui se répète régulièrement dans notre présent du vécu de nos ancêtres (arbre généalogique thérapeutique), de nos géniteurs (périnatalité) et du nôtre (auto-mytho-biographie). Cette combinaison d’outils permet de repérer et conscientiser les programmes, souvent transmis par nos mémoires transgénérationnelles inconscientes, qui nous empêchent de réaliser nos rêveset nos envies dans un futur immédiat. Il donne ensuite la possibilité de lâcher ce programme limitant de croyances, valeurset ressentispour en proposer un nouveau, de nature à modifier la représentation mentale que nous nous en faisons et à rendre possible la réalisation de nos rêves, projets et envies, en toute sécurité.
Encadré 1 décodage biologique
De la toute-puissance à l’humilité : L’exemple du cancer du pancréas
On assiste aujourd’hui à une épidémie de cancers du pancréas. Pan en grec signifie « tout ». En décodage symbolique, le PAN/CRE/AS est donc « l’as qui crée tout ». Je ne parle pas du pancréas exocrine, en rapport avec le diabète mais de l’ancien pancréas, le « cancer » du tube digestif.
Quand on en développe un, c’est pour créer davantage. C’est lui qui présente un des plus mauvais pronostic, en général quelques mois de vie. Le plus étonnant est qu’un nombre important de personnages célèbres en crée, le plus connu étant Steve Jobs, l’as qui crée tout et a fait de Apple le N° 1 de l’informatique. Tout en ayant survécu sept ans, peut–être grâce aux médecines alternatives auxquelles il a eu recours. En Belgique, deux premiers ministres sont morts avec, Jean-Luc Dehaene et Wilfried Martens, ainsi que le directeur de la monnaie, Gérard Mortier. Il frappe de préférence les personnes confrontées à des tâches à très fortes responsabilités créatives.
Le pancréas a pour fonction de fabriquer les enzymes les plus puissants pour le tube digestif. Quand on développe ce type de cancer, c’est donc pour produire des enzymes encore plus puissantes, pour devenir tout-puissant et être capable de tout digérer. S’il y a un patient représentatif de cette pathologie de toute-puissance, c’est bien Steve Jobs qui, à de nombreuses reprises dans son parcours a été confronté à l’impuissance à digérer des abandons. Ce cancer est lié à une forme d’injustice. D’ailleurs le pancréas a une forme de glaive, l’épée de la justice. Ce sont des gens qui vont se battre, mais comme dans Excalibur ils vont finir par casser leur épée et devront la réparer pour être encore plus puissants.
Récemment une patiente a guéri d’un cancer du pancréas avec métastases. Nous avions fait tout un travail avec ma femme sur sa généalogie, sa périnatalité, conjointement avec le travail d’un guérisseur philippin magnifique, Alex Orbito, un homme d’une humilité et d’une simplicité étonnantes. La combinaison de tout ce travail est qu’elle a guéri spontanément. Avec notre aide naturellement mais j’insiste bien sur le fait que c’est elle qui s’est guérie. Aux Etats-Unis, on parle aujourd’hui de médecine coopérative. La coopération, c’est d’abord le patient et ensuite le thérapeute. La combinaison des deux fera que demain on aura beaucoup plus de chances de guérir avec toutes les maladies car on aura compris le sens, le bienfait de la maladie pour résoudre ses problèmes mortifères.
Donc on ne meurt pas d’un cancer du pancréas mais avec un cancer du pancréas, de ne pas avoir su utiliser à bon escient la toute-puissance et rentrer dans l’humilité en ayant accepté de ne pas tout pouvoir digérer, diriger, créer, transformer tout seul.
Encadré 2 décryptage symbolique
Du confort à l’adaptation : L’exemple du cancer de la thyroïde
C’est l’une des formes de cancers qui se développe le plus actuellement. Quand la thyroïde apparaît-elle dans l’évolution ? Quand on en a besoin. Et à partir de quand en a-t-on eu besoin ? Eh bien quand nous sommes sortis de l’eau. Les poissons n’en ont pas, car ils baignent dans la mer qui règle leur température corporelle. Comme certains d’entre nous, d’ailleurs, qui sont toujours chez leur mère. Au chaud chez Maman, têtant le sein symbolique ou réel. Mais à un moment donné, même les Tanguy doivent sortir de la mère, comme nos ancêtres sont sortis de la mer. Et quand on quitte le cocon familial, il faut travailler. Autrement on ne peut pas payer sa facture de chauffage, on a froid.
Quand un poisson sort de l’eau, volontairement ou accidentellement, la première chose qui le tue c’est la déshydratation. La deuxième chose c’est le refroidissement ou l’échauffement car il n’a pas la capacité de réguler lui-même sa température, ce qu’on appelle l’homéothermie.
Quand on dissèque un poisson après l’avoir sorti de l’eau et qu’il soit mort, on constate qu’il a déclenché deux cancers : L’un au niveau de son tube rénal primitif car il ne baigne plus dans la profusion aqueuse pour retenir ses eaux, et l’autre au niveau d'un arc brachial pour créer une thyroïde thermorégulatrice.
La thyroïde est un organe lié au changement et à l’adaptation rapides. Les hormones thyroïdiennes ont pour fonction d’accélérer les processus d’évolution, les métabolismes, donc également les processus cancéreux, pour nous permettre de nous adapter plus vite.
Aussi aujourd’hui où nous sommes confrontés chaque jour à un nombre considérable d’exigences d’adaptation, on développe de plus en plus de cancers de la thyroïde car nous devons nous adapter de plus en plus vite à tous les niveaux, professionnel, familial, ou social. C’est la nécessité d’un changement rapide et fondamental qui explique à mon sens l’augmentation croissante de cette pathologie dans le monde, plus que les fuites radioactives des centrales nucléaires de Tchernobyl ou de Fukushima.
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Pour aller plus loin
- Lire les articles sur le décryptage bio-médical : "Articles sur le décryptage bio-médical"
- Accéder aux activités en décryptage bio-médical voir : "Activités en décryptage bio-médical"
- Accéder aux vidéos (conférences, interviews, podcast, …) sur le décryptage bio-médical® voir : "Conférences, interviews, Podcast, … sur le décryptage bio-médical"