Décryptage biomédical des diabètes
Qu’est-ce que le décryptage Bio-Médical des maladies ?
Un Chemin Complémentaire aux Soins Médicaux qui nous offre un permis de guérir et de réussir.
Le Décryptage Bio-Médical est un Art difficile de Se Guérir qui s’allie aux soins médicaux dispensés habituellement et qui s'aligne sur les principes actuels de la médecine factuelle, également connue sous le nom de Médecine Basée sur les Preuves (Evidence Based Medicine). Cette approche novatrice, élaborée par des médecins grâce aux connaissances des 13 systèmes du corps humain, est fondée sur des connaissances médicales et biologiques de pointe rigoureusement vérifiées et reproductibles.
Alors que beaucoup de médecins hospitalo-facultaires et généralistes éprouvent encore de grande difficultés à intégrer le décryptage biomédical à leur pratique, des non médecins (psychologues et psychanalystes, psychothérapeutes, dentistes, kinésithérapeutes, ostéopathes, infirmiers, microkinés, psychomotriciens, psychothérapeutes, juristes, …) ainsi que des patients y ont cependant recours, avec cependant, parfois, un manque criant de connaissances biologiques et de rigueur scientifique et médicale qui dénaturent la dicipline.
Il en résulte malheureusement que des pistes et des interprétations hypothétiques, même si intéressantes, soient assénées comme des vérités, sans être en accord avec les connaissances médicales et biologiques qui sous-tendent cette discipline. De telles affirmations peuvent dans certains cas égarer les patients, semer la confusion et in fine les éloigner malencontreusement de leur chemin vers la guérison. Autant d’écueils qui ont bien évidement jeté un voile de discrédit et de scepticisme sur des découvertes médicales pourtant extrêmement précieuses, qui permettent de comprendre les maladies et de soutenir leur traitement.
Cependant même si le décryptage bio médical des maladies est assurément un art rigoureux et difficile qui requiert l'acquisition de connaissances précises sur le fonctionnement des 13 systèmes du corps humains et un savoir-faire médical particulier, son usage ne doit toutefois pas se limiter exclusivement aux médecins. Pour que cette discipline scientifique se développe et que sa mise en application se perfectionne les compétences spécifiques des paramédicaux sont précieuses et la collaboration des patients nécessaire. Ce n’est qu’après de nombreuses heures de conduite en application de connaissance médicale que chacun pourra acquérir un savoir-faire et ainsi un permis de guérir et de réussir.
Le décryptage biomédical mérite sa place dans le paysage médical contemporain et doit être repris dans les approches complémentaires facilitant la guérison du courant universitaire américain de Médecine Intégrative né il y a 30 ans et dont David Servan Schreiber s’est fait le représentant en Europe.
Dans un monde où émerge le concept de « Santé Active », mettant en avant la responsabilité du patient dans sa maladie et dans son chemin de santé, le concept de Médecine Sensitive coopérative que nous prônons met l’approche du Décryptage Biomédical plus que jamais à propos. L’essence du concept de la Santé Active est de permettre à tout patient d’apprendre à mieux se connaître, à devenir acteur de son processus de guérison en acquérant des connaissances sur son histoire personnelle, en collaborant étroitement avec ses médecins, thérapeutes et soignants, et en prenant des mesures concrètes.
Comment s’ouvrir au concept de Santé Active ?
Il est essentiel de comprendre comment nous tombons malades, mais aussi comment nous pouvons guérir ou prévenir les maladies des 13 systèmes de notre corps en prenant des mesures concrètes spécifiques qui facilitent notre guérison.
Aujourd'hui, grâce à Internet, des milliards d’informations sont devenus accessibles au plus grand nombre d’entre nous. Chacun a la possibilité d'explorer en profondeur sa propre maladie en cherchant des informations en ligne. Cette possibilité précieuse qui permet d'engager des discussions éclairées avec les médecins et de participer activement aux choix thérapeutiques, peut cependant se transformer en source d’angoisse.
Acquérir une compréhension approfondie du fonctionnement de sa maladie, des divers traitements disponibles et de leurs implications exige une implication certaine du patient qui est loin d’être cependant évidente pour tous. Apprendre comment trier et organiser la découverte de tant de savoir disponible s’avère être d’un grand soutien pour devenir un acteur serein de sa guérison.
Ce qui aidera sans aucun doute le patient à se retrouver dans l’apport gigantesque d’informations médicales est de trouver un cap de guérison à suivre. Entreprendre des recherches personnelles pour identifier l'Invariant Universel Déterminant de sa maladie, c’est-à-dire l'élément fondamental que l'on retrouve invariablement chez toutes les personnes souffrant de la même maladie, est un objectif judicieux à se poser pour qui désire poser des actes de facilitions à la guérison adéquats.
Bien que chacun soit unique, les structures anatomiques et physiologiques de nos 13 systèmes sont remarquablement similaires et quasi invariantes (une tête, cinq sens, deux bras, un estomac, un foie, …)..Les variations qui nous différencient résident dans la maladie spécifique que chacun contracte face à un conflit ingérable ainsi que dans les nuances que la maladie contractée va présenter selon la manière dont nous la vivons.
Comment découvrir l’Invariant Universel Déterminant d’une maladie ?
L’approche utilisée est scientifique, symbolique et mytho-bio-logique.
La recherche de l'Invariant Universel Déterminant d'une maladie requiert une approche scientifique, symbolique et mytho-bio-logique. Tel un puzzle, cette démarche implique de rassembler toutes les pièces éparses de connaissances provenant de multiples disciplines scientifiques, artistiques, religieuses, philosophiques et politiques. En suivant le fil conducteur du mythe (mythos) et la logique de la vie (bios), une vision complète de la maladie émerge.
Pour faciliter la recherche de l'Invariant Universel Déterminant, il est utile, comme nous le montrerons dans l'exemple des diabètes ci-après, de classer ces connaissances en fonction des trois dimensions traditionnelles (corps, âme, esprit), des sept niveaux logiques inspirés de la pyramide des besoins de Maslow et revisités par Robert Dilts en programmation neurolinguistique (vision, sens, identité, croyances, ressentis, comportements, environnements). La pyramide de facilitation à la guérison que nous allons vous proposons est inspirée des découvertes de ces éminents chercheurs.
Dans quel état d'esprit développe-t-on des diabètes
Quels changements de Vision devons-nous opérer dans notre vie pour faciliter les processus de guérison spontanée ?
Pour nous guérir, un changement radical de notre manière de percevoir notre vécu est nécessaire. De récents travaux de neuro-sciences démontrent qu’aborder nos difficultés en faisant usage de notre lobe préfrontal, la partie la plus récente dans l’évolution de notre cerveau, permet de trouver de nouvelles solutions.
Grâce au fait que notre lobe préfrontal excelle dans la capacité à faire des liens entre toutes les connaissances existantes, il nous permet d’innover et de faire un saut quantique vers la santé et le bien-être.
C'est dans cette vision préfrontale du décryptage du diabète , à la fois symbolique et mytho-bio-logique, que je vous convie pour innover dans la compréhension de cette pathologie à présent.
Quel pourrait-être le sens bio-logique des diabètes ?
Les neurones en lien avec les cellules du pancréas secrétant l’insuline sont situés précisément dans notre lobe préfrontal situé au-dessus des yeux.
Les diabètes invitent à un changement de paradigme, à avoir une nouvelle vision qui permettent de passer de l'assistance sociale abusive à une véritable solidarité équitable où chacun participe activement au développement d'une santé physique, psychique et sociale en douceur pour le bien de tous.
Des millions d’êtres habités par l'inspiration qui « se laissent » leurrer et déposséder matériellement, énergétiquement, émotionnellement et intellectuellement de leurs créations par une minorité d’individus cupides et envieux qui cherchent avant tout à se sucrer sur le compte des autres plutôt que de contribuer au sacré et au mieux-être de tous, développent des diabètes comme moyen(s) de survie. Cette pathologie leur permet de mieux résister aux douceurs leurrant es, aux cadeaux qui semblent providentiels mais qui en réalité sont empoisonné. Cette pathologie les aident à éviter les dures pénétrations indignantes, répugnantes, ignobles, massacrantes et inhumaines par ceux qui souhaitent les éliminer pour prendre leur place même s’ils sont incapable de faire preuve du même génie.
Comment définir les diabètes ?
Médicalement :
Les diabètes sont une accumulation de petits grains de sucres dans le sang qui sont empêchés, sur ordre du cerveau, de traverser les membranes des cellules des tissus périphériques (muscles, graisses, foie, cerveau) pour leur fournir de l’énergie (calorie). Cet empêchement se produit grâce à un tarissement de la sécrétion d’insuline dans le type I, soit grâce à une résistance des récepteurs à l’insuline dans les cellules des muscles, graisse et foie dans le type II ou le cerveau dans le type III.
En prêtant l’oreille aux verbes et mots psychomoteurs exprimés par la personne souffrante, nous pouvons entendre parler sa maladie. En relevant et en expliquant au patient la linguistique qu’il a utilisée, nous pouvons l’aider à mettre des mots sur ses maux en conscience et susciter en lui un questionnement qui le mènera sur le chemin de sa guérison.
Des métaphores exprimant le thème propre de sa maladie l’aideront ainsi à mieux la définir pour la comprendre et l’identifier dans sa vie.
La « Grundsprache » analysée par Freud dans les rêves, ou « Langue des Oiseaux" des alchimistes, kabbalistes et troubadours, est une langue archaïque enfouie dans notre cerveau droit. Dans cette perspective, nos mots ne sont plus les signes arbitraires des linguistes classiques, ils sont construits d'unités sonores déjà porteuses de sens mais non conscientisés, et forment ainsi un code proche d'un langage universel.
Ce sacré qui jaillit de l’inconscient permet d'accéder au sens profond des maux du corps se traduit grâce à :
Étymologiquement
- Le mot « diabète" vient du grec diabêtes = qui traverse, c'est-à-dire verse à travers ou pénètre
- Le mot « mellitus" vient du latin signifiant « mielleux" pour leurrer
- Le mot « insuline" vient du latin insula = petite île (suffixe in) ou îlot de Langerhans qui la secrète
- Le mot « pancréas" vient du grec pan creas = tout créer = la baguette magique
- Le mot « symptôme" vient du grec sym ptoma = tomber (malade) avec l'épée, la dague pour
(ma)sacrer - Le mot « secréter" = ex ducere = conduire le secret hors de
- Lorsque je tombe (malade) avec (symptômes) une non-unité tue (im-uni-taire) qui m'empêche d'exister (hormone), de tout créer et sucrer dans ma chair (pancréas), je résiste (résitine) en m'isolant (insuline) à la pénétration ou passage à travers (diabète) des membranes protectrices dans mon intimité d'éléments répugnants enrobés dans du miel (mellitus).
Par l'écoute du verbe : les Verbes psychomoteurs
À travers le questionnement personnel et transgénérationnel il est possible de sonder le terrain de la maladie et de découvrir par qui, par quoi, de quoi, mon peuple, mes aïeux ou moi-même ont été ou (se) sont :
- Leurrer
- Passer à travers, pénétrer, envahir, fuir, échapper, repousser
- (S')isoler, concentrer, fermer les portes, supporter, porter (un enfant à contre cœur)
- Détruire, massacrer, suicider, attaquer, éliminer, éradiquer, faire disparaître
- Résister, lutter, tenir, retenir, persister, rentrer dedans, harceler
- Sucrer, faire preuve de sacré
- (Re)créer, éduquer, secréter
Les Mots clés ou l'écoute subtile (Langue des Oiseaux ou da Vinci Code)
Les neurologues et les linguistes éprouvent encore des difficultés à jouer avec la langue des oiseaux comme se l’autorisent les kabbalistes, les soufis, les alchimistes, les troubadours et autres amateurs du da Vinci code.
Décodons dans l’optique d’Abraham A. Abehsera qui écrit dans son livre « Babel » : « Derrière la multiplicité infinie des mots et des langages se tient aussi un long filament d’ADN, un chromosome universel qui ordonne toutes les expressions humaines ».
Les homonymes et les homophones dans la même langue ou dans des langues différentes expriment la fonction commune comme l’illustre l’exemple suivant :
Les idéogrammes prononcés MU en chinois signifient à la fois herbe comprenant de la chlorophylle et œil comprenant des bâtonnets, tous deux ayant comme fonction commune la réception de la lumière du jour et sa transformation en matière (photosynthèse).
En français, cet homonyme-homophone MU, signifie « en mouvement » et à l’inverse EMU hors (ex) du MU ou EMOTION hors (ex) du mouvement (MOTION).
En ce qui concerne les diabètes, étudions les mots du registre émotionnel qui parlent de la perturbation de la fonction commune de réception du sucre à travers la lumière ou canal transmembranaire des cellules.
Georges Chastellain (XV siècle) dans son « Exposition sur la vérité mal prise » parle de « mots emmiellés et de paroles farcies de sucre ».
DIA(S) en français signifie la lumière (diamètre, diapositive) du jour (DIAS en espagnol) et du soleil associé au Père Céleste (DIOS en espagnol), mais aussi le cri destiné à faire tourner le cheval ou la BETE vers la gauche.
Son anagramme IAD, YAD ou YOD en hébreu signifie la main et la semence du père céleste. D, Delta en grec et Daleth en hébreu signifiant la PORTE.
Pour le cerveau au niveau de la lecture des lettres, le diabète est identique à DIABLE E(t) T(héo).
Le diable, du grec diabolein signifiant séparer, est encore appelé dans les religions monothéistes, le père du mensonge et du leurre ou le testeur (satan, shatan, sheitan) ou l’adversaire, c'est-à-dire qui met à l’épreuve et sépare ceux qui réussissent de ceux qui échouent.
BETE, c’est la BÊTE mais son homophone BETH, deuxième lettre de l'alphabet hébraïque, signifie la MAISON et par extension tout lieu de refuge, de ville fortifiée, comme THEBES son anagramme.
DIABÈTE est aussi l'anagramme de débati.
Je DI(s) A (la) BE (i) T (h) E de ne pas franchir la porte (D= Daleth) de ma maison (BETE = Beith) ouverte seulement A la semence sacrée de vie du père céleste (I=Yod)
DIs pardon (interdit) A (la) BETE.
En français, les racines ternaires D, B, T et S, C, R sont communes aux mots « DiaBèTe » et « DéBuT », et « SuCRe » et « SaCRé ».
Il s'agit d'une maladie de survie pour résister à la bêtise (in)-humaine et à la personne qui se comporte comme une bête mielleuse crainte. Cette maladie aide à ce que ce type de personne ne traverse plus la porte de ma maison pour me faire du mal et me massacrer. Cette maladie d'évolution du lobe préfrontal aide à accéder à la douceur de vivre (dolce vita)
En résumé, les DIABETES nous parlent de comment nous, nos ancêtres ou notre peuple avons ouvert la porte de notre maison-corps et reçu chez nous des « diables » ou des « bêtes » qui nous ont leurrés de mot et gestes mielleux et massacrés parfois à mort. Il en résulte que pour éviter la douleur de pareille pénétration nous nous sommes enfermés et isolés dans notre petite île (insuline) et coupés du même coup de la lumière Divine qui nous meut et maintient en vie.
La Symbolique et les métaphores
Ce mot d’origine grecque : pherein (porter) et meta (au-delà) signifie TRANS POSER ou PORTER AU-DELA.
Tous les peuples utilisent des mythes, des légendes,des histoires pour transposer le malaise de la personne dans un autre personnage, dans un autre temps (passé ou futur) et un autre lieu pour permettre à celle-ci de basculer de son cerveau automatique conservateur à son cerveau préfrontal innovant et ainsi libérer ses émotions et accéder à un autre entendement et comportement.
Le Mythe d’œdipe et du cheval de Troie : cadeau empoisonné des dieux), les légendes arthurienne et histoires de Blanche Neige illustre le diabète.
Le dénominateur commun ou Invariant Universel Déterminant de ces métaphores est l'ouverture d'une porte avec une pénétration dans le corps (Arthur, Blanche-Neige), la maison (Blanche- Neige), le château (Arthur), la chambre nuptiale (Arthur, Œdipe), la ville d’autrui (Thèbes, Trois) par le biais d’un leurre en lien avec un traumatisme périnatal comme l'abandon. On peut donc constater que l’aspect mytho rejoint l’aspect logique dans le décryptage BIO-MEDICAL des symptômes des diabètes.
- Mythes : le cheval de Troie pour tromper la confiance et la vigilance, passer inaperçu à travers les défenses de l'autre et le massacrer
- Histoires Robinson Crusoé, Île : îlots de Langerhans ; s'isoler sur une île déserte (apoptose)
- Légendes Arthurienne : Dague, épée, baguette magique, le pancréas ( qui a une forme d’épée): la nostalgie de tout créer.
Quels sont les états d'âme susceptibles de conduire à un diabète
Quelle est l'étiologie (cause) possible ?
Comme pour toutes les maladies : un conflit intense, inconnu, imprévu, inutile, imparable, vécu dans l'isolement, primaire ou secondaire à une autre maladie.
La médecine classique recherche les causes dans les faits.
La médecine nouvelle intégrative a montré que la cause se trouvait dans l’effet que les faits ont sur la personne souffrante. Ainsi, en fonction de l’imagination et du ressenti du malade face à un fait, un même fait peut produire différent effet et donc différente maladie correspondant à l’effet ressenti. Tout comme il est aussi possible que plusieurs faits différents produisent à chaque fois un même effet chez la personne dont la somme simultanée ou dans le temps fait dépasser le seuil de tolérance et le déclenchement du diabète.
L’effet que l'image mentale (neurocognitivisme) peut créer
Les re-présentations ou les images mentales mémorisées et/ou créées par le cerveau de la personne malade à partir d'un fait réel, imaginaire, symbolique ou virtuel, qu’il soit vécu par elle-même, ses parents (surtout lors de la périnatalité), ses aïeux (à travers la généalogie) ou lors d'éventuelles vies antérieures personnelles hypothétiques, peuvent l'affecter c'est-à-dire susciter en elle un ressenti conflictuel pathogène.
Par exemple : Il est établi aujourd’hui que 50% des diabètes de type II ont des antécédents familiaux et que le diabète de grossesse prédispose également l'enfant au diabète.
De toute évidence une recherche approfondie dans la généalogie s’impose.
Le cerveau de la personne malade, de ses parents ou de ses aïeux n'ayant pas eu l'intelligence pour déjouer une attaque frontale perverse, c'est-à-dire leurrante par son aspect mielleux, associe la douceur à l'attaque et développe la croyance que la douceur est douloureuse et parfois même mortelle.
La personne sujette aux diabètes présente une tendance paranoïde paléolimbique, c'est-à-dire une peur excessive d'être agressée, envahie, pénétrée corporellement ou symboliquement (maison, voiture, propriété, …) avec une envie de fuir ou de lutter, donc l'action est inhibée. Il en résulte que la personne ne peut plus que disparaître au maximum par amaigrissement brutal pour mieux se cacher, ou accumuler de la graisse pour se protéger et intimider son agresseur (a-graisseur).
L'effet du ressenti conflictuel pathogène : une main de fer dans un gant de velours
Le ressenti conflictuel pathogène survient quand une personne isolée a été assez « bête » pour se faire avoir. Cela signifie qu'elle n'a pas pu déjouer une maltraitance (attaque frontale) car elle était perversement dissimulée par une apparence mielleuse, douceâtre et gentille.
Ce leurre dissipe la méfiance et la peur empêchant ainsi la fuite en temps voulu ou une défense infaillible de soi ou de ce qui nous symbolise (maison, quartier, ville, pays). Il en résulte une pénétration, un envahissement abusif pouvant déboucher sur un massacre répugnant, ignoble, indignant, inhumain et souvent mortel.
Le cerveau élabore l'équation psycho-biologique sadomasochiste suivante :
Pénétration jouissive de la douceur = massacre douloureux ! résistance douloureuse à la pénétration de la douceur = plaisir de survie.
Ex. : un retraité belge avec 500 € de pension ne peut plus fuir son quartier de Bruxelles envahi par des musulmans perçus subjectivement par lui comme répugnants, violents, ignobles, indignes, inhumains (bêtes). Il déclenche un diabète de type I frisant le coma hyper glycémique quand il consulte.
Le cerveau associe alors les ressentis douloureux dus à la pénétration et au massacre avec les moyens qui les ont rendus possibles (la douceur plaisante du miel ou du sucre, l’insuline, son récepteur et les cellules # des îlots de Langerhans qui la produisent).
Il peut alors associer le pancréas, qui par l'insuline qu'il secrète, permet à la douceur de passer à travers les membranes des cellules, au malfaiteur (voleur, violeur, violenteur) et ordonner au système immunitaire de produire des anticorps contre les cellules # des îlots de Langerhans ou l'insuline qu'elles produisent et d'autres (anti-GAD65, anti-ICA512, …). Il en résulte un suicide obligé de ces cellules avec comme conséquence une insulinopénie (carence) engendrant du diabète maigre juvénile de type I (5-10%). Chez les personnes adultes, le cerveau peut déclencher par voie épigénétique une insulino résistance des cellules périphériques des muscles, tissus adipeux et foie dans le diabète gras de l'adulte mâture de type II, ou du cerveau dans le diabète de type III.
Sous des dehors mielleux et douceâtres, mon intention est de massacrer, tuer, violer, voler.
Imaginaire (parano) : je m'imagine harcelé, coincé et envahi en ville, à la campagne, au travail.
Symbolique : maison, temple, château, forteresse, hôpital, caserne, … sont des bâtisses qui ont un invariant commun, celui d’être telle une matrice.
Virtuelle : console vidéo.
En inhibition d'action c'est-à-dire en s'isolant pour se protéger ou en étant isolé (vient du mot isola, insula = île) car l'ennemi m'a encerclé et/ou enfermé.
Quelle pensée, croyance, système de valeurs ou image mentale (réelle, imaginaire, virtuelle, symbolique) dois-je avoir en moi pour développer un ressenti conflictuel envers les autres ? « L'enfer, c'est les autres »
Je ressens la nécessité de résister à une dure pénétration (vol, viol, violence) avec maltraitance que je ne peux ni fuir ni combattre.
Réelle naturelle : grossesse, infection : ponction amniotique, péridurale, vaccin, collocation, inondation, éruption volcanique, tremblement de terre, tsunami, tornade, cyclone, ouragan, …
In-humaine : injection médicamenteuse ou de chimio, radiothérapie, alimentation industrielle (élevage d'animaux : volailles, mammifères, poissons : saumon), invasions et colonisations : Gengis Khan, Attila, Romains, Sarrasins, Musulmans, Espagnols, Portugais, Anglais, Français, Allemands, Italiens, Hollandais, Belges, … minorités d'opinions politiques, philosophiques, religieuses, artistiques, médicales, sexuelles
Génocides : Juifs, Arméniens, Tutsis, Amérindiens, …
Inceste (90% / famille), pédophilie secte.
Réellement : refuge naturel dans une île ou une montagne (Protestants lors des guerres de religions, Massada en Israël, …) un château fort, une ville fortifiée (Cathares, sanatorium)
In-humainement : ghettos, camps de concentration, esclavage (Afrique, Afrique du Sud, Europe, Asie) prisons (Amérique : Guantanamo, Turquie, Palestine, Afrique, Asie, …) hôpitaux psychiatriques, goulags maisons de retraite élevage concentrationnaire culture intensive « maisons de luxe fortifiées » écoles, pensionnats, orphelinats couvents
ondes électromagnétiques (radio, TV, téléphonie mobile, GPS, WIFI, …)
Imaginaire (parano) : en ville, à la campagne, au travail
Symbolique :
Virtuel (console) :
Le cerveau élabore l'équation psycho-biologique sadomasochiste suivante :
Pénétration jouissive de la douceur = massacre douloureux => résistance douloureuse à la pénétrationc de la douceur = plaisir de survie.
Comment (dé) somatiser ou éviter de somatiser des diabètes
En veillant à l'environnement : épi-demio-logie et prévalence
L'épidémiologie est la science (du grec logos) qui montre que tous les peuples (du grec démos) sont concernés par ce qui leur pend au dessus (du grec epi) de la tête. 6 à 8 %, soit 300 millions d’individus ont un diabète qui leur pend au nez et le déclencheront dans le quart de siècle actuel s'ils ne changent rien à leur manière de vivre.
Socialement, toutes les personnes ou les collectivités (Amérindiens, …) enfermées de manière répugnante contre leur gré dans des lieux clos et indignants (réserves, ghettos, camps de concentration, goulags, …) peuvent, pour résister à la mort, développer des diabètes.
Isolement sur une île déserte comme le fœtus originel.
Au cours du quart de siècle actuel, le diabète se déclenchera chez 6 à 8% de la population, soit
environ 300 millions de personnes.
- 95% des natifs Nord Amérindiens (USA, Canada) isolés dans des réserves par les colons
- 90% des Berbères animistes isolés par les convertis à l'Islam
- Insulaires (Japon, Grèce, …) isolés sur leur île pour se protéger par la mer
- Urbanisés : les descendants des indésirables d'Europe (voyous, prostituées, …) envoyés dans les colonies
- Abrasés sexuellement (viol, inceste, pédophilie, prostitution, harcèlement prof.)
- Israéliens partiellement isolés dans le monde musulman moyen-oriental
- Palestiniens isolés dans la bande de Gaza
- Inuites sédentarisés
- Assiégés
- Embargo (Irak)
- Pestiférés, lépreux (?)
- Personnes autochtones isolées par la pauvreté dans un ghetto d'étrangers
Grâce au diagnostic et la détection des comportements de mal à dire
En collant à la clinique et aux disciplines étudiant les micro et macro-comportements.
Ces comportements maladifs engendrent un dérèglement du corps humains. Les dérèglements du corps sont le langage du corps, c’est à travers leur compréhension scientifique que des clés précises peuvent être trouvées et se faire la métaphore de ce à quoi nous devons mettre fin dans notre vie ou de celle ne nos parents ou ancêtres.
Biologie clinique (microsymptômes internes)
En biologie moléculaire clinique, des examens précis permettent de doser la glycémie, l’insuline, l’hémoglobine glycosylée, l’acido-cétose, l’indice glycémique des aliments, les anticorps anti- insuline, les enzymes. Une prise de sang, de routine (check up) chez une personne asymptomatique ou suite aux symptômes, met en évidence :
- Une hyperglycémie : le sucre (glucose) s'accumule dans le sang (types I, II, III) ≧ 126mg/dl dans les 3 types « se sucrer », c'est s'en mettre plein les poches pour compenser le manque
de douceur intra utérine - Une insulinopénie :- totale dans le type I juvénile maigre insulinodépendant, l'insuline n'est plus produite par le pancréas, hémoglobine glycosylée (hba1c) partielle dans les types II et III à la fin
- Une hyper insulinémie : au début des types II et III car dans le type II sénile gras non insulinodépendant, comme transitoire l'insuline n'arrive pas à faire pénétrer le sucre, l'hyperglycémie fait produire plus d'insuline au pancréas.
- Une acidocétose
Génétique et épigénétique
En génétique et en épi génétique, il est possible de localiser des gènes dans l’ADN ainsi que les protéines qui les entourent pour moduler leurs expressions dans les cellules du corps et du cerveau.
Des gènes en rapport avec la production des hormones et des enzymes en rapport avec des diabètes ont été localisés et décryptés dans l’ADN humain.
L’influence des facteurs environnementaux par le biais des protéines entourant ces gènes
(épigénétiques) et permettant ou empêchant leur expression dans les cellules est en pleine étude.
Biologie moléculaire
Les plantes envahies et agressées par des parasites ou prédateurs sécrètent des substances pour résister à leur génocide.
Il existe un déficit enzymatique en résitine et/ou en leptine, une modification protéique du récepteur membranaire des cellules.
Embryologie
L'embryologie met en évidence une analogie fonctionnelle entre le feuillet embryonnaire externe (ectoderme) de l'œuf primitif et la membrane des cellules des tissus périphériques. L'ectoderme est à l'origine de tous les organes et systèmes responsables des contacts et des échanges (entrée- sortie) entre les milieux (extra cellulaires et extérieurs) du corps. La membrane, elle, assure les contacts et échanges entre le milieu intra et extra cellulaire.
Comme les cellules # des îlots de Langerhans sont issues de l'ectoderme, en cas de conflit actif, elles ont tendance à se suicider par apoptose et à disparaître.
Lors du développement embryonnaire un curieux mécanisme appelé microchimérisme a lieu. Il s'agit d'un échange de cellules entre le corps de la mère et celui de l'embryon, d’intensité variable probablement selon les ressentis maternels et les mémoires transgénérationnelles. En effet, les cellules maternelles traversent davantage (51%) la barrière placentaire chez les fœtus qui seront sujets au diabète que chez les fœtus sains (17%). Par ailleurs ces cellules chimériques résisteront plus longtemps à la mort cellulaire dans le cas de diabète et pourront même être à l'origine de la régénérescence des cellules # .des îlots de Langerhans.
Les cellules maternelles peuvent se différencient chez l'enfant en cellules # capables de produire de l'insuline et résistent mieux que les cellules de l'enfant à l'apoptose.
Neuro-anatomie : le foyer neurologique
Le foyer des neurones en lien avec les cellules # des îlots de Langerhans se situe dans la substance blanche des lobes préfrontaux du cerveau les plus récemment apparus lors de son évolution. Les lobes préfrontaux permettent l'avènement d'une solidarité responsable différente d'une assistance sociale.
Physiopathologie
- Versant masculin (type I) : 90% : maladie auto immune débouchant sur l'apoptose des cellules
# des îlots de Langerhans ! plus de secret-ion d'insuline pour faire rentrer le glucose dans les cellules stockeuses.
Déficit biochimique en résitine
- Versant féminin (type II) : 10% : l'insulino résistance des cellules musculaires adipeuses et hépatiques n'augmente pas avec l'âge, mais c'est la fonction des cellules # qui régresse avec le temps ! le glucose ne pénètre plus dans les tissus qui le stockent pour être à la disposition des besoins.
Il existe deux modes fondamentaux de diabètes composés de deux phases chacun :
- Phase de conflit actif ou sympathicotonie : hyperglycémie avec hyper/hypo insulinémie
Type I, masculin, maigre, central : la sécrétion d'anticorps contre les cellules # des îlots de Langerhans ou l'insuline, les font disparaître rendant le pancréas impuissant à éjaculer ses hormones dans le sang.
Type II et III, féminin, gras, périphérique : les récepteurs membranaires des cellules périphériques (muscle, foie, tissu adipeux, cerveau) changent de forme pour résister à la pénétration de l'insuline et, par ce biais, à l'ouverture du canal transmembranaire afin de laisser entrer le sucre.
- Phase de conflictolyse ou vagotonie : normalisation de la glycémie et de l'insulinémie
Type I : régénération spontanée des cellules # des îlots de Langerhans à partir des cellules souches ou de cellules chimériques avec re-sécrétion d'insuline endogène.
Type II et III : levée de la résistance des récepteurs membranaires à l'insuline.
Ethologie
Naturelle : l'écureuil arctique est le seul animal à ne pas recourir à l'obésité pour résister aux grands froids hivernaux potentiellement mortels. Pour se protéger du froid, il a recours au diabète type II réversible car l'excès de sucre a un effet antigel dans le sang.
(in)Humaine : les saumons d'élevage nourris aux farines de cadavres d'animaux et recyclées après la crise de la vache folle font du diabète.
Sémiologie (symptômes externes d'appel)
La sémiologie, la science (du grec logos) qui étudie les signes (du grec semio) et les symptômes des maladies nous permet de comprendre que les comportements pathologiques procèdent d’une intention positive d’évolution ou de survie, et nous pourrons alors découvrir la bio-logique des signes et symptômes suivants des diabètes de :
Type I :
- Glycosurie : le cerveau, pour éviter le coma hyper glycémique, ordonne aux reins de développer une néphropathie afin de mettre en fuite et d’évacuer dans les urines l’excès de sucre qui est associé à l'envahissement répugnant. Raison pour laquelle on lui a donner le nom de diabète mellitus (diabète au goût de miel) permettant de le différencier d’une autre néphropathie non-diabétique appelée erronément diabète insipide de par sa polyurie dépourvue de sucre
- Polyurie : l'élimination massive du sucre entraîne une perte liquidienne importante. L'urine sucrée permet de différencier le diabète véritable « mellitus » d'une affection rénale autre appelée diabète insipide où les urines ne contiennent pas de sucres et n'ont pas de goût. Ce comportement animal de survie permet de marquer davantage son territoire en douce.
- Polydipsie : la perte liquidienne fait que les reins, via l'hypophyse déclenchent la soif et le besoin de boire beaucoup. Ce comportement animal de survie permet de boire comme un fœtus et de recontacter le sentiment de sécurité intra utérin.
- Amaigrissement : du à la perte de sucre. Comportement pour mieux pouvoir se cacher et éviter ainsi l'extermination.
Type II :
Souvent dans le cadre d'un syndrome métabolique chez une personne sédentaire, fumeuse, alcoolique et sujette à la « malbouffe » (alimentation sucrée et grasse hypercalorique).
- Tension artérielle augmentée (≧ 130/85) pour tenir le coup
- Obésité androïde : due à un hyperstockage pour tenir le siège et éviter ainsi l'exter- mination.
BMI ≧ 25 Kg/m$
tour de taille > 88 cm chez la femme et 102 cm chez l'homme - Dyslipémie : triglycérides ≧ 150mg/dl
HDL < 50 chez la femme et < 40 chez l'homme
Diagnostic différentiel
- Primaires : cf. supra
- Secondaires à certains traitements (cortisone, vaccins) ou lors de maladies vécues comme des maltraitances.
Complications et métastases aiguës et chroniques
Des moyens existent pour les dépister précocement.
Le cerveau, en l'absence de traitement palliatif efficace, fait de nouvelles maladies pour réduire le ressenti conflictuel premier. L'hyperglycémie peut conduire à un coma hyper glycémique possiblement mortel.
Complications aiguës :
- Hypoglycémie (coma) : glycémie < 60mg/dl
- Décompensation hyperglycémique (coma) : acidocétose ou décompensation hyper-osmolaire
- Acidose lactique en cas de non-respect des contres indications de la metformine
Complications chroniques :
- Artériopathies : les artères sont centrifuges (c'est-à-dire elles fuient le cœur ou centre) et leurs pathologies visent à éviter les fuites ou pertes de ce qui est cher à notre cœur, ou de nourrir une action qui occasionnerait peut-être notre perte. Elles contiennent le proteion, véhicule des émotions
- Rétinopathie : pour ne plus voir l'envahisseur répugnant maltraitant en sortant hors de la maison
- Des pieds : pour ne plus pouvoir botter l'envahisseur hors du territoire ou marcher et sortir de la maison et ainsi ne plus voir l'envahisseur répugnant et maltraitant qui me fait perdre pieds
- Du pénis : pour ne plus pouvoir répéter des abus sexuels transgénérationnels et ne plus pouvoir pénétrer
- Les coronaires : pour résister à la perte de territoire ou d'êtres chers
- Neuropathies : non (= résistance), c'est vrai, c'est trop dur, je ne veux plus sentir (atteinte des nerfs sensitifs) et je ne veux plus devoir marcher et sortir (nerfs moteurs) de la maison et voir l'envahisseur répugnant et maltraitant
- Veinopathies : les veines sont centripètes. Leurs pathologies ont pour but de faciliter le retour de ce qui est cher ou d'empêcher le retour de ce qui n'est pas cher à notre cœur.
- Dermopathies : prurit : le contact avec la personne ou la chose répugnante me démange et je voudrais la gratter pour la détacher de moi.
- Atteintes oculaires : pour ne plus voir la personne ou la chose répugnante
- Néphropathies : pour ne plus sentir la personne ou la chose répugnante
- Atteintes macro-vasculaires
- Secondaires à d'autres maladies ou événements
Récidives ou rechute :
Si la leçon n'a pas été comprise, elle se représente sous des faits différents mais l'effet reste le même. Exemple, patient redevenu asymptomatique et ayant rechuté après un nouveau choc en voyant l'incendie répugnant de son garage contenant ses deux voitures avec ses valises pour partir en vacances en famille, déclenché par la résistance du frigo box.
Grâce à l'hygiène de vie
- Activité physique biologique : 2h de marche « douce » par jour abaisse de 40% le risque de décès
- La respiration transformationnelle
- L'alimentation biologique et mieux encore biodynamique anthroposophique :
Grâce aux traitements substitutifs
- Substitutifs matériels (insulines, hypoglycémiants, …)
Type I : thérapie hormonale de substitution : insuline de porc au début, bactérienne aujourd'hui, à partir d'un gène humain greffé sur le génome d'une bactérie par auto injection via une pompe ou pancréas artificiel.
Type II : antidiabétiques oraux (ADO) : glucophage et autres hypoglycémisants
- Homœopathiques chamaniques immatériels : Tous les remèdes dans toutes les dilutions-dynamisations peuvent potentiellement déclencher ou favoriser une guérison spontanée.
Certains ont déjà révélé un tropisme particulier (Syzygium jambolanum, Phosphorus, oxalic acidum). - Complémentaires : Ostéopathie, chiropraxie, acupuncture, microkiné, étiomédecine, étioscane,…
Grâce au travail personnel en santé active
Guérison spontanée naturelle préfrontale
Les guérisons spontanées naturelles préfrontales existent et des cas sont repris dans la littérature médicale sans explications ni investigations supplémentaires à propos des compétences inconscientes ou conscientes développées par celles et ceux qui ont su modifier leurs images mentales et leurs ressentis conflictuels face aux maltraitances répugnantes et indignantes , ou qui ont trouvé des idées intelligentes pour les arrêter.
C'est passer du spécialiste, qui doit régler les problèmes (obstacles qui font résistance) des autres à défaut de pouvoir régler ceux de sa famille, au maître qui peut devenir un « messie récalcitrant » en n'ayant plus à devoir régler tous les problèmes des autres mais pouvant le faire dans son arbre généalogique et sa périnatalité.
Le lobe préfrontal permet de relativiser et nuancer une programmation traumatique. La douceur ne déclenche pas toujours ou jamais de massacre, cela dépend de l'intention et de l'usage de la douceur.
Le maître sait ne plus se laisser leurrer et massacrer par des douceurs artificielles et s'ouvrir à la douceur sacrée.
Diabètes - Bibliographie
- Précis de Diabétologie – sous la direction de M. Dérot – Masson 1977
- Atlas du diabète : 2010 4ème édition
Alimentation
- Viandes, fibres, céréales : Ericson U. & coll., abstract 13.13/09/2011 – EASD 2011 - Lisbonne
- Le cru : Dr Gabriel Cousens
Anatomie
Coût (465 milliards de dollars) :
- J .C. Mbanya – European Association for the Study of Diabetes (EASD) 2011
Cytopathologie
- Diabète de type III ? : S. de la Monte & J.R. Wards – J. Alzheimer disease – 2005, 7 : 45 005
- Pourquoi des cellules β démissionnent ? : Dr J.C. Jonas (UCL) in Le Journal du Médecin 18/02/2005
- D'où viennent les cellules β in Le Généraliste 707 – 06/10/2004
- De la cellule canalaire à la production d'insuline in Le Généraliste 658 – 17/09/2003
Décryptage biomédical
- Grand Dictionnaire des Codes des Maladies - Dr E. Van den Bogaert 2007
- Regard biologique sur le diabète in BioInfo - Dr E. Van den Bogaert
- Etude (en cours) en décryptage biomédical de cuba sur le diabète juvénil
Embryologie / Microchimérisme
- Lee Nelson &al (Seattle) : in PNAS – 2007 / in La Recherche – 2007
- Nathalie Lambert (Marseille)
- Ulrich Drews : Atlas de poche d'Embryologie
Endocrinologie
- L'insuline, déclencheur du diabète : M. Nakayama, in Nature, 435 , 220, 2005
- S. Kent, in Nature, 435, 224, 2005
- Manque de sérotonine dans le diabète gestationnel : Michaël German, in Nature Médecine – 27 juin 2010
- L'ostéocalcine – Professeur Patricia Ducy & al – Congrès européen pour l'étude des diabètes – 2010
- La leptine : L. Osherovich & al – SCIBX3 (10) – mars 2010 (on line)
- L'incrétine : Professeur B. Gllwitz (Un. Munich - Congrès de ADS - San Diego 2011), Professeur S. Edelman (Un. Californie – Congrès de ADS - San Diego 2011)
- Système rénine-angiotensine et diabète
Épidémiologie
- Epidémie et variantes : Lancet – 2010 : 375-2254-66
- Etude Anthropologique sur le Diabète dans les Réserves Amérindiennes
- The copying styles of adolescents with type A diabetes are associated with desease of metabolic control
- Diabète : l'autre mondialisation in Le Généraliste 632 – 12/02/2003
Génétique et Épigénétique
Histologie
- Atlas de poche d'Histologie : Wolfgang Kühnel
Immunologie
- Des anticorps ciblent le diabète in La Recherche 393 – 01/2006
Index
- HOMA : insulnorésistance -L. Olivier, Prof. M. Hermant
- Gare à l'index insulinique : A. Mahieu in BioInfo
S. Holt & J. Brandmiller
Littérature
- Indignez-vous – Stéphane Hessel
Métabolomique
- Metabolite profiles and the risk of developing diabetes - T.J. Wang & ali n Nature Med.2011, 17 : 448-453
Microbiologie Infection
- Diabète de type II & Entérovirus : Yeung WCG & al : Enterovirus infections and type I diabète mellitus – in Systematic review & meta analysis of observationnel molecules studies : in British Medical Journal – 2011, 342 : d 35
- Samanta S. & al : Risk factors for late onset gram-negative infections : a case control study : in Arch. Disease Child Fetal Neonatal – éd. 2011, 96, p.15-p.187
- HbA1C : viser entre 6 et 6,5% - Ӧstgren C. & coll – congrès EASD Lisbonne 15/09/2011, viser entre 7 et 7,5%, Risque cardiovasculaire et diabète : P. Van Crombrugge in Minerva – fév 2011 (références : Selvin E., Steffes M.W., Zhu H. & al : Glycated hemoglobin, diabetes & cardiovascular risk in Non diabetics adults - N Engl J Med 2010;362:800-11.
Mortalité
- The Emerging Risk Factor Collaboration. Diabetes Mellitus, fasting blood glucose concentration, and risk of vascular disease, and risks of vascular events and death. N Engl J Med. 2010;363:1410-1418.
Pathogénésie
- Que sait-on de la pathogénésie de type I, prévenir les complications chroniques in Le journal du Médecin 1630, 12/11/2004
Physiopathologie
- Atlas de poche de Physiopathologie – S. Silbernagl, F. Lang
Prévention
- La Marche : in Archives of Internal Medecine – 23/06/2003
- Diabétiques, marchez ! In Archives of Internal Medicine – 23/06/2003
- In utero : 70ème congrès de l'ADA (American Diabetes Association), juin 2010 : Prof. L. Van Gaal (UZA) in Le Généraliste 973 - 22/07/2010
- 42ème annual meeting of the European Association Study of Diabetes (EASD) – Copenhague 2006
- Prévenir le diabète, système rénine-angiotensine et diabète in Le Généraliste 800 – 05/10/2006
- Diabète de grossesse : est-il temps d'utiliser la nouvelle stratégie de dépistage et les critères diagnostiques du concensus ? : Benhalima K., Van Crombrugge P., Devlieger R., Mathieu CH., in Vaisseaux, cœur, Poomons 2010, vol.15, 9, 303-5
- Diabetes Prevention Program Research Group : Reduction in the incidence of type II diabetes with lifestyle intervention or metformin in N. Engl. J. Med. 2002 346, 393-402
Recherche
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Rémissions spontanées
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- Spontaneous disappearance of insulin-resistant diabetes mellitus in a patient with a collagen disease : Bruce D.H., Bernard W., Blackard W.G. In American Journal of Medicine 48 (2) – 02/1970 , 268-272
Scores
- UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) : conférence de presse : « Diabetes & risk, the challenge of the right evaluation » - EASD 2011, Lisbonne
Sémiologie & complications
- HTA du diabète : méta analyse rassurante : Reboldig &al in Journal of Hypertension 2011, 29(7) 1253-1269
- Vademecum clinique : V. Fattorusso, O. Ritter
- Les complications aiguës du diabète in Les urgences du généraliste, 29 – 09/1994
- Que sait-on de la pathogénésie de type I, in Le journal du Médecin 1630, 12/11/2004
- Obésité & diabète in Le Généraliste 658 – 17/09/2003
- Le diabète de typa II : une épidémie mondiale, le syndrome métabolique, les, 358, 1991-2002
- Les complications cardiovasculaires du diabète in Tempo Médical – 05/1998
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Site
www.vivreavecundiabète.com
Gabriel Cousens - diabètes
Thérapeutiques
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- Traitement du diabète de type II – in Patient Care 2004
- Anticorps Anti CD3 : B. Keymeulen & al – in New Infant Journal of Medecine 352, 2598 – 2005 in La Recherche – n° 293 - janv. 2005
- Effet de la vitamine B sur la progression de la néphropathie diabétique :
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- Transplantation pancréatique : des résultats peu encourageants in …
- La prise en charge du diabète, un exercice exigeant pour le patient et son médecin in Clinical Letter (clinique St Jean) – 03/2005
- Diabète gestationnel : bénéfices de la prise en charge. In Vaisseaux, cœur, Poumons 2007 , 12, 131-13
- Diabète de typa II : de nouvelle soptions thérapeutiques in Le Journal du Médecin 1785 – 17/10/2006
- Gliptines et analogues du GLP-1 – seule ou en association – inhibiteur de la recapture rénale de glucose – EASD 2011
- La thérapie diabétique adopte le monster Gila in Le journal du Médecin 1543 – 21/10/2003
- Un traitement définitif du diabète de typa I ? in Le Journal du Médecin 1553 – 02/12/2003
- Le traitement du diabète de typa II in Patient Care – 03/2004
- Enjeux materno-foetaux et stratégies thérapeutiques : Leperck J., in Med. Clin. Endocrinal Diab. 2009 39, 48-9 - Effect of treatment of gestational diabetes mellitus on pregnancy outcomes : Crowther C., Hille J., Moss J., Mc Phee A. & al in N. Engl. J. Med. 2005 352, 2477-86
- The HAPO Study Cooperative Research Group. : Hyperglycemia & Adverse Pregnancy Outcomes : Coustan D., Lowe L., Metzger B. : Can we use the results as a basis for change ? In J. Maternal-Fetal Neonat. Med. 2010, vol. 23, 204-9
- Standrds of Medical Care : Diabetes Care 2010, vol.33, suppl. 1 : S15-S16, S23-S25
- International Association of Diabetes & Pregnancy Study Groups Concensus Panel. International Association of Diabetes & Pregnancy Study Groups recommaendations on the diagnosis & classification oh hyperglycemia in pregnancy : Diabetes Care 2010, vol.33, 676-82
Pour aller plus loin
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