Face aux bouleversements du monde actuel, il est urgent de réhabiliter nos capacités de bien-être et de facilitation à la guérison. Certains, dans la crise sanitaire de la Covid 19, se sont précipités aux urgences, d’autres ont été refoulés des soins intensifs par manque de place, d’autres encore apeurés de se rendre à l’hôpital, ont traversé seuls l’enfer ou en sont morts. Conditionnés à être pris en charge et soignés, nous avons laissé s’endormir nos capacités à prendre notre santé en main.
Des études en neurosciences explorent l’influence des processus mentaux sur le fonctionnement biologique. Bien que les mécanismes précis et l’ampleur de ces effets restent encore débattus, on sait désormais que l’être humain est capable de modifier sa biologie grâce à ses capacités sensitives cérébrales.
L’HoMSHaM®, une technique qui permet de pratiquer de l’homéopathie sensitive, ou shamanique, c’est-à-dire de laisser émaner le remède de soi, plaide en ce sens "Dans cette technique, le bien-être est favorisé par un travail sur la perception et les ressentis individuels, il n’y a pas besoin de recourir à une substance physique telle qu’une granule ou à un dispositif de préparation technique".
L’HoMSHaM® permet à chacun d’accéder et de réveiller ses compétences inconscientes de bien-être, sans substance ni machine, et peut donc être pratiquée en tout lieu et en toute circonstance quand le besoin s’en fait sentir.
Comment l’homéopathie peut-elle être en voie de disparition ?
C’est un fait, il est de plus en plus difficile de recourir à l’homéopathie pour se soigner. Alors qu’on était habitué à ce qu’une demande soit toujours entendue dans le monde du commerce, l’homéopathie semble faire exception à la règle.
L’homéopathie, depuis sa conception, a toujours été freinée dans sa pratique. Au 19e siècle, certains apothicaires ne désiraient pas réaliser les remèdes, les jugeant peu coûteux et donc peu rentables. Au 20e siècle, elle a fini par être considérée comme une médecine à part entière, et les remèdes ont ainsi été remboursés. Mais alors que son utilisation grandissait, au grand étonnement des patients satisfaits, elle a été soudain considérée par les instances de santé officielles comme non suffisamment efficace que pour continuer à bénéficier d’un remboursement. Au-delà de cette déconvenue, une autre bien plus forte a mis à mal cette médecine :
- Une destruction ou des retraits de souches homéopathiques ont eu lieu sur la base de contraintes réglementaires, économiques et « scientifiques ».
- Avec le renforcement des normes européennes et nationales sur les médicaments, de nombreuses souches ont été soumises à des exigences de traçabilité et de contrôle plus strictes. Au vu des faibles coûts et marges de bénéfice sur les remèdes, certains laboratoires n’ont pas pu financer ces mises en conformité.
- Certaines souches d’origine biologique (bactéries, venins, etc.), soumises à de nouvelles lois, ont dû être supprimées en raison de risques potentiels liés à leur fabrication ou à leur stockage.
- De par l’arrêt des remboursements et une baisse d’utilisateurs, les laboratoires spécialisés comme Dolisos et Unda ont été rachetés ou fermés, entraînant l’arrêt de production et la disparition de nombreuses souches.
- Toute activité qui consiste à établir un diagnostic et à proposer un traitement est considérée comme un acte médical. Les naturopathes et autres praticiens alternatifs peuvent proposer des approches de bien-être, donner des conseils, mais ne peuvent pas réaliser de prescriptions médicales.
Les pressions scientifiques et institutionnelles ont donc encore une fois puissamment mis à mal cette médecine. L’homéopathie ayant été critiquée pour son absence de preuve scientifique robuste, certaines institutions ont même limité sa reconnaissance, voire même son enseignement.
Résultat des courses, de plus en plus de remèdes, nombres ou types de dilutions et dynamisations ne peuvent plus être délivrés dans nos pharmacies. Les médecins homéopathes sont devenus une "espèce en voie de disparition" car la plupart partent à la retraite ! Les écoles pour médecins ferment ou sont presque vides. Quant aux homéopathes non-médecins, ils courent le risque d’être poursuivis pour exercice illégal de la médecine.
L’HoMSHaM®, peut être la continuité de l’Homéopathie
Pendant près de 200 ans, bon nombre d’homéopathes ont dû se limiter aux rares remèdes, nombres et modes de dilution-dynamisation connus. Mais il est possible aujourd’hui, à partir des symptômes du patient hiérarchisés selon leur importance, de trouver un remède parmi les plus ou moins 15 000 déjà expérimentés… alors qu’il en existe des milliards existants et encore inusités !
Faute de moyens, je me suis tourné vers les pratiques chamaniques (l’écoute des êtres vivants), la médecine traditionnelle chinoise (pouls) et la kinésiologie (test musculaire), pour apprendre à ressentir, tester et vérifier sur le corps des patients si le remède choisi était celui qui lui était le plus approprié. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que de nombreux patients présentaient, après le testing des RNS (Remède Nombre Symbole), des améliorations notoires… sans même qu’il ait pris le RNS sous forme matérielle et été préparé de manière classique.
Cette découverte m’a permis de créer L’HoMSHaM® pour ne plus subir les contraintes réglementaires, économiques et « scientifiques » et aider chacun à en faire autant pour devenir acteur de son bien-être et de sa santé.
En fait, un "remède donné sous forme vibratoire" n’est en effet pas reconnu comme un traitement médical selon les standards scientifiques et réglementaires actuels. Et ce pour plusieurs raisons :
1. Définition d’un traitement médical
Un traitement médical repose sur :
- Un principe actif démontré (substance ayant un effet prouvé sur l’organisme).
- Des études cliniques validées (efficacité et innocuité démontrées par des essais rigoureux).
- Un cadre réglementaire (AMM – Autorisation de Mise sur le Marché pour les médicaments).
En conclusion, un remède vibratoire, qui repose sur des concepts énergétiques et subjectifs, ne répond pas à ces critères.
2. Statut légal et scientifique
- Non reconnu par les autorités de santé : Ni l’OMS, ni l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) ne reconnaissent les "remèdes vibratoires" comme des traitements.
- Pas de preuve scientifique établie : Aucune étude clinique solide ne démontre leur efficacité au-delà de l’effet placebo.
- Pratiques assimilées au bien-être ou aux médecines alternatives : Ces approches sont souvent classées dans la catégorie des médecines non conventionnelles.
3. Différence entre bien-être et traitement
- Si une méthode vibratoire est utilisée pour le bien-être, la relaxation ou le développement personnel, elle peut être considérée comme une approche complémentaire.
- Si elle est présentée comme un traitement contre une maladie, alors elle entre dans le domaine médical, ce qui peut poser problème légalement si elle est exercée par des non-médecins.
En résumé, comme les remèdes vibratoires accueillis avec L’HoMSHaM® sont des « remèdes vibratoires », ils ne sont pas un traitement médical reconnu, mais une pratique alternative reposant sur des concepts énergétiques et subjectifs et ne peuvent pas remplacer une prise en charge médicale éprouvée, tout le monde peut y avoir accès.
Vers une homéopathie vibratoire 2.0 ?
L’homéopathie délivre à nos corps une information pour activer ou désactiver épigénétiquement des gènes, qui codent pour des fonctions précises et facilitent la restauration de notre bien-être physique, énergétique, émotionnel, psychique, mental et spirituel.
Les progrès technologiques (Internet, smartphones, ordinateurs) ont révolutionné notre manière de communiquer et d’échanger des informations au XXIe siècle. Le courrier papier cède la place au courrier électronique. Et si les supports matériels de l’homéopathie classique cédaient aussi la place aux supports vibratoires ? Nous pourrions dans ce cas pallier aux pressions scientifiques coûteuses, à la réglementation administrative et surtout échapper à toutes les dépendances matérielles. Nous pourrions être capables d’utiliser une technique de soin en tout temps, en toute circonstance et en tous lieux au moment même où nous en avons besoin.
En homéopathie, pas de recettes toutes faites !
L’homéopathie repose sur l’individualisation du traitement, contrairement à l’allopathie qui cherche à proposer des médicaments et posologies adaptés au plus grand nombre.
Grâce à L’HoMSHaM®, cette règle peut être puissamment suivie puisqu’il existe des milliards de remèdes existants, encore inusités, auxquels avec cette pratique nous pouvons avoir accès.
Il vous est possible d’apprendre à accueillir les RNS sensitivement, comme le font les chamanes. Ils peuvent apprendre à accueillir les RNS de manière sensible et communier avec les Règnes du vivant comme le font les shamans et leur communauté dans certaines pratiques traditionnelles.
Vous pouvez, à l’aide de la kinésiologie et d’un test musculaire, vérifier l’adéquation du remède accueilli pour vous-même et pour tous les êtres chers qui vous entourent.
Certains n’y arrivent rien qu’en lisant le livre L’HoMSHaM® à pratiquer la technique, d’autres ont besoin d’un séminaire pour la mise en pratique. En 4 jours, comme cette pratique repose sur les capacités sensitives de chacun, tout le monde y parvient. La suite, c’est de l’entrainement. Personne ne devient évidemment virtuose ou shaman en quatre jours, mais tout le monde est capable de développer sa réceptivité à la nature. Personne n’arrive vierge de liens à la nature, certains sont déjà fortement reliés aux règnes astral, minéral, micro myco bactério viral, mycélial, végétal, animal, humain et spirituel. Aussi, certains, en fonction de leur bagage, pourront très vite approfondir la pratique.
La méthodologie utilisée aide chacun à prendre conscience de son potentiel neurobiologique de bien-être. Chacun, au travers de différentes propositions, éveille ses capacités perceptives et ses ressentis individuels, accède à ses compétences naturelles de restauration de bien-être physique, énergétique, émotionnelle, mentale, sociale et spirituelle.
Nécrose pancréatique : il en sort guéri… sans aucun remède !
Une consœur homéopathe m’appelle un dimanche, me suppliant d’aller voir son frère agonisant aux soins intensifs avec une nécrose pancréatique fulgurante. Mme, si je suis conscient de l’impossibilité d’obtenir un RNS en pharmacie un dimanche, je m’y rends. Après un bref échange avec le patient, je teste corporellement son Remède Nombre Symbole : Cadmium sulfuricum 10 000 K.
L’inimaginable et l’incompréhensible se produisent alors ! Avant même que je puisse lui donner verbalement son RNS pour qu’il en prenne conscience, les multiples appareils auxquels il est relié par des fils électriques conducteurs se mettent tous à sonner.
Le lendemain, contrairement à toute attente, le patient n’est pas mort, sa nécrose est arrêtée et son pancréas est en voie de régénération. Une semaine plus tard, il sort guéri de l’hôpital.
Il est évident que la science académique aime la reproductivité et attribuera à cette guérison l’adjectif de spontanée.
Pour la médecine moderne, la guérison spontanée est une amélioration ou une disparition soudaine et inexpliquée d’une maladie, sans qu’il n’y ait eu une intervention médicale spécifique ou un traitement jugé insuffisant pour justifier cette récupération. Elle est souvent observée dans des pathologies comme les cancers ou les maladies auto-immunes.
Bien que fascinante, la guérison spontanée est rare et ne peut être considérée comme une alternative fiable aux traitements médicaux éprouvés, mais le fait est qu’elle existe et a été répertoriée. Quoi de mieux ce faisant que d’imaginer en plus de celui de faire partie du pourcentage de guérison présent dans toute étude, celui d’être le cas de guérison spontanée ?
Les preuves de fonctionnement de L’HoMSHaM® ne sont pas mises par écrit et prouvées au travers de longues études coûteuses que seules des firmes pharmaceutiques peuvent assumer. Si les firmes qui fabriquaient l’homéopathie n’ont pas eu les reins assez solides pour relever ce défi, ce n’est pas la pratique de L’HoMSHaM® qui repose sur du non matériel qui pourra y arriver. Mais est-il nécessaire d’avoir d’autres preuves que celles que nous ressentons et des changements que cela engendre en nous-même ou dans nos vies de ceux que nous connaissons ?
La guérison par les symboles, prouvée par la médecine quantique !
Pour ceux qui cherchent des éléments de validation, il existe des observations rapportées par certains praticiens et utilisateurs. Bien que les études scientifiques sur le RNS ne soient pas comparables à celles menées sur les médicaments conventionnels, certains outils, tels que des appareils qualifiés de quantiques ou électrophotoniques, ont été utilisés et ont objectivé l’effet immédiat de RNS. Par ailleurs, certains thérapeutes, comme des ostéopathes, microkinésithérapeutes ou énergéticiens, rapportent des améliorations et des disparitions de symptômes chez leurs patients.
Vous avez tout à gagner à expérimenter et à évaluer par vous-même, car finalement, en matière d’amélioration de votre état de bien-être, qui sera le meilleur évaluateur si ce n’est vous-même ?
En conclusion, qui que vous soyez, quoi que vous traversiez, où que vous soyez dans le monde, même loin de tout médecin ou pharmacien, avec L’HoMSHaM®, vous avez un outil de secours. Avec juste un minimum d’apprentissage, en vous appuyant sur vos capacités à ressentir, vous pouvez accueillir un RNS pour prendre soin de votre bien-être physique, énergétique, émotionnel ou psychique. À l’aide d’un simple RNS, vous pouvez désactiver en vous ou en d’autres ce qui fait blocage et, inversement, activer les capacités dont vous avez besoin pour relever les défis de la vie et en sortir grandi.
Pour aller plus loin
l’auteur et son épouse ont coécrit le livre HoMSHaM® aux éditions Quintessence. Les plus curieux s’initieront à l’accueil et au testing des RNS. Les plus sceptiques ou mentaux, qui désespèrent d’y arriver, peuvent participer à leurs formations HoMSHaM® de 4 jours.
- Lire le livre "L’HoMSHaM® L’homéopathie sensitive", aux éditions "Quintessence"
- Lire les articles sur L’HoMSHaM® : "Articles sur L’HoMSHaM®"
- Accéder aux activités sur L’HoMSHaM®, voir : "Activités en HoMSHaM®"
- Accéder aux ressources (conférences, interviews, podcast, …) sur L’HoMSHaM®, voir : "Conférences, interviews, Podcast, … sur L’HoMSHaM®"
