Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

Et si la maladie était une alerte bienveillante ?

Du point de vue homéopathique, une pathologie n’arrive ni par hasard ni pour rien. Car cette thérapeutique naturelle ne traite pas tant la maladie que la personne malade et ses non-dits. En remontant à la cause profonde du problème, le traitement homéopathique permet une guérison véritable non seulement complète, mais surtout durable.

Le monde occidental est parvenu à se convaincre que sa médecine scientifique, basée sur l’administration de vaccins et de médicaments, était la panacée universelle. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a pourtant revu sa définition. Car la santé n’est pas seulement une absence de symptômes physiques scientifiquement mesurables, c’est aussi et surtout un état de bien-être émotionnel, mental, social et spirituel.

Beaucoup de médecins et de patients utilisent pourtant encore l’homéopathie de manière allopathique, c’est-à-dire en administrant des RNS* comme des médicaments pour guérir un malaise, une maladie ou un trauma. Or ces affections ne sont jamais le problème mais la réponse de notre esprit et de notre corps face à une situation potentiellement mortelle. Mais, lorsque quelqu’un pointe la Lune du doigt, le sage regarde la Lune, et le sot regarde le doigt !

* : Remède, nombre de dilutions-dynamisations, symbole de la dilution-dynamisation. Exemple : Arnica 5CH.

Pour éliminer la tumeur de la fille, il fallait guérir le conflit occulté de sa mère !

Une jeune femme de 26 ans, fraîchement mariée avec un Québécois, décide avec lui d’accueillir un enfant. Son ventre prend rapidement du volume. Elle se rend chez son gynécologue, qui, contre toute attente, découvre qu’elle n’est pas enceinte mais qu’une tumeur de 2 kg s’est développée dans son péritoine. Après deux opérations, la tu­meur récidive de manière irrémédiable.

En travaillant sur la systémique familiale, je découvre que la mère de la patiente - asymptomatique - a besoin d’un RNS : Apocynum cannabinum 10 000 K. La nuit qui suit la prise du RNS, cette dame se réveille en se rappelant un avortement qu’elle avait totalement occulté. Dès le lendemain, après qu’elle en eut parlé à sa fille, la tumeur se mit à régresser.

Chose étonnante également, il m’est arrivé, en œuvrant avec des couples, de tester des RNS chez chacun correspondant aux symptômes du partenaire ! L’homéopathie ne cherche donc pas à guérir mais à rétablir un équilibre de vie personnelle intérieure (l’homéostasie) au niveau intime, familial, social, etc. Elle travaille avec tous les êtres des 8 règnes environnants, qui rendent alors la maladie obsolète.

Quant à l’allopathie, elle préconise dès le plus jeune âge de plus en plus de vaccins (jusqu’à 11 ou 12 en France et en Italie !) pour protéger les bébés et les petits enfants des maladies. Or les enfants élevés dans des milieux non précarisés - et surtout aimants ! - ne font pas de "maladies d’enfance", dont la fonction biologique naturelle est en réalité de les aider à se détacher principalement de leur mère et à devenir autonomes.

L’homéopathie ne traite donc pas la maladie. Elle aide les malades à régler leurs problèmes de manière personnalisée, depuis leur conception, et même bien avant, jusqu’après leur mort. Par exemple, si un couple est stérile, l’homéopathie ne traite pas la stérilité mais aide chaque futur parent à guérir les mémoires traumatiques transgénérationnelles qui empêchent leur enfant de venir au monde vivant et en bonne santé. Ensuite, pendant toute la grossesse, de la conception à l’accouchement, l’homéopathie pourra les aider à gérer leurs ressentis conflictuels susceptibles de déclencher chez l’embryon ou le fœtus des maladies congénitales (parfois réversibles en homéopathie). Le bébé est différent de sa mère, même s’ils sont en fusion. À l’aide du test kinésiologique sur le corps du patient, il est possible de déterminer des RNS différents pour la mère et pour l’enfant (le bébé est une personne distincte de sa mère).

Quand les enfants somatisent

C’est un cas assez ordinaire : un enfant déteste la viande, ses parents l’obligent à en manger "pour son bien". Il peut alors développer les oreillons.

Les oreillons sont une maladie des glandes salivaires, surtout la parotide, dont l’inflammation donne une tête de hamster. L’enfant qui ne peut se résoudre à avaler cette viande sursalive pour essayer de la digérer. Si ses parents font preuve d’autorité abusive pour lui faire avaler ce morceau, on pourra alors voir des complications graves telles que la méningite ou l’orchite ourlienne*.

* : Une complication testiculaire rendant stérile.

Plutôt que de se limiter aux symptômes de la maladie, Lycopodium clavatum traite l’autoritarisme, la violence, le manque de compréhension et de respect des parents à l’égard de leur enfant, et la difficulté de ce dernier à être considéré comme une personne unique et différente de ses parents.

L’homéopathie permet aussi d’aborder toutes les somatisations infantiles récurrentes :

  1. Le manque de contact parental se traduit par des troubles hépatocutanés qu’on peut traiter avec Sulfur ou Psorinum ;
  2. Les disputes parentales bruyantes entraînent otites, rhumes, sinusites, bronchites et bronchiolites, voire des pneumonies, pouvant être résolues avec Phosphorus;
  3. Le non-respect du territoire de l’enfant engendre des énurésies et/ou des cystites qu’on peut soulager avec Cantharis;
  4. Les situations familiales indigestes créent des maux de ventre, des diarrhées voire des retards de croissance qu’on peut résoudre avec Abrotanum.

Anne Ancelin Schützenberger, créatrice de la psychogénéalogie, disait : "Les enfants et les animaux domestiques sentent et savent tout mais ne peuvent rien dire des dysfonctionnements familiaux, scolaires, religieux…" Faute de pouvoir le dire en mots avec le verbe, ils vont alors le dire en maux avec le corps.

Attention : les remèdes peuvent révéler la maladie (mais c'est une bonne chose)

Dans mon enfance, chaque année en juin, lors des cas de varicelle dans mon école, ma mère appelait notre homéopathe pour avoir un remède afin d’éviter la maladie.

Celle-ci aurait pu compromettre nos vacances à la mer au soleil ! Chaque année, je recevais donc des granules de Rhus toxicodendron 5CH pour prévenir la varicelle… que je ne contractais pas.

Des années plus tard, alors que j’ai appris à tester le RNS - y compris pour et sur moi - je m’administre une dose de Natrum sulfuricum 7V*. Dès réception du RNS par la poste, je commence à avoir chaud et je me rends compte en fin de journée que j’ai 40°C de fièvre. Durant la nuit, je suis réveillé par une intense démangeaison de tout le corps… J’ai la varicelle !

* : Une dilution-dynamisation que j'ai créé.

Cette expérience, qualifiée de pathogénésie ou proving, me permet de sortir de l’emprise de ma mère.

Ce n’est que vingt ans plus tard que je découvre dans le répertoire homéopathique un symptôme propre à Natrum sulfuricum : traumatisme crânien à la naissance.

Croyez-le ou non, c’est exactement mon cas car je suis né avec deux bosses séro-sanguines causées par deux ventouses.

Hahnemann découvre l'homéopathie grâce à la malaria

C’est en prenant de la quinine (China) diluée et dynamisée qu’Hahnemann voit réapparaître tous les symptômes de la malaria qu’il avait eue des années auparavant. Il découvre ainsi la "loi de similitude" : "Ce qui déclenche la maladie peut aussi la guérir !"

À l’époque où Hahnemann avait eu la malaria, il était le médecin privé du richissime baron de Bruckenthal, auprès duquel il jouissait d’un confort de vie inégalé, mais qui le privait cependant d’accomplir sa mission de vie auprès des malades.

La quinine et sa cousine l’hydroxychloroquine, qui traitent efficacement la malaria et la Covid, sont finalement de précieux outils pour remettre dans le droit chemin les personnes égarées de leur destinée et de leur mission de vie.

À la différence de ceux qui servent de cobayes aux vaccins et aux médicaments, les personnes qui se prêtent à des pathogénésies homéopathiques en ressortent en meilleure santé.

Il est donc possible à chacun et chacune d’apprendre à tester des RNS tout au long de sa vie, même en l’absence de symptômes, afin de rester en bonne santé ou, mieux encore, d’améliorer son bien-être.

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